Pour améliorer le fonctionnement de notre site, accroître la pertinence des contenus informationnels et optimiser le ciblage publicitaire, nous collectons des informations techniques anonymisées sur vous, notamment à l’aide d’outils de nos partenaires. Le processus de traitement des données personnelles est décrit en détail dans la Politique de confidentialité. Les technologies que nous mettons en œuvre pour ce faire sont décrites en détail dans la Politique d’utilisation des cookies et d’enregistrement automatique.
En cliquant sur "Accepter et fermer", vous acceptez que vos données personnelles soient utilisées dans les buts décrits ci-dessus.
Vous pourrez revenir sur votre choix et retirer votre consentement en utilisant n’importe quel autre moyen indiqué dans la Politique de confidentialité.
Le monde faisant face à des révisions de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale et de ses résultats, plusieurs personnalités politiques et historiens appellent à la raison.
Pour le 75e anniversaire de la grande Victoire, Vladimir Poutine a écrit un article publié sur le site du Kremlin mettant en garde contre les tentatives de réécrire l’Histoire, relevant le rôle de l’URSS dans la défaite du nazisme et soulignant l’importance de préserver la paix et la sécurité internationale.
À cause de la France et du Royaume-Uni, la Société des Nations mise en place après la Première Guerre mondiale a piétiné et n’a pas pu prévenir «la répétition des affres d’une guerre globale», a estimé dans un article pour le National Interest Vladimir Poutine.
Dans un article pour le National Interest, le Président russe a évoqué le sujet de la révision de l’Histoire et a tenu à souligner la nécessité que d’autres pays emboîtent le pas de la Russie en publiant les documents classifiés sur la Seconde Guerre mondiale.
Qui a libéré Auschwitz le 27 janvier 1945? Un sondage Ifop pour Sputnik.Opinions a révélé l’avis de la population polonaise sur la libération du camp de concentration. Selon les résultats, 73% des Polonais l’attribuent à l’Armée rouge, 15% aux troupes polonaises et 5% aux Américains.
Dimanche 16 février, les diplomates russes ont rendu hommage à la mémoire du général de l’Armée rouge Ivan Tcherniakhovski, mort au combat pour la libération de la Pologne en 1945. La cérémonie s’est déroulée près de la ville de Pieniezno où son monument s’était trouvé avant d’être démonté en 2015.
L’Europe est à présent en proie à une hystérie antirusse, a déclaré le député serbe Aleksandar Seselj, lors du colloque international «Yalta 1945: leçons de l’histoire» qui se déroule les 13 et 14 février au palais de Livadia, en Crimée, où s’étaient réunis à l’époque les dirigeants de l’Union soviétique, des États-Unis et du Royaume-Uni.
En réponse aux propos de Volodymyr Zelensky qui a soutenu la décision de la Pologne d’accabler l’Union soviétique de la même responsabilité dans le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale que l’Allemagne nazie, Vladimir Poutine a rappelé à son homologue ukrainien qu’il était inadmissible d’altérer la vérité historique.
Le vétéran américain centenaire Steven Melnikoff a confié à Sputnik attendre avec impatience de traverser l’océan, en mai prochain, pour se retrouver parmi les Russes à Moscou le Jour de la Victoire célébrant la fin de la Seconde Guerre mondiale, espérant que les jeunes n’oublieront pas qui avait sauvé le monde.
Dans le cadre de la Conférence de Munich sur la Sécurité, Sputnik s’est entretenu avec deux figures importantes de la communauté juive dans le monde au sujet des crimes de haine et de leur récurrence en France et dans d’autres pays.
La signature en 1934 du pacte de non-agression germano-polonais a transformé la Pologne en une complice tacite du «IIIe Reich» dans les visées agressives de ce dernier, selon directeur du Service des renseignements extérieurs russe Sergueï Narychkine.
En février 1945, les forces armées anglo-américaines détruisent presque entièrement Dresde après plusieurs frappes aériennes. L’opération Coup de tonnerre visait initialement Berlin ou Leipzig, mais plus tard les alliés ont révisé leur projet.
Face à la campagne antirusse qui se déroule principalement dans l'espace médiatique européen et qui utilise l’histoire comme champ de bataille, Vladimir Poutine a opté pour une «approche démodée très russe» et a déclassifié des documents d’archives soviétiques, selon Modern Diplomacy.
Il y a 75 ans les USA et le Royaume-Uni ont lancé leurs bombardements contre Dresde, qui ont duré du 13 au 15 février 1945. Selon les informations officielles, ils ont emporté la vie de 25.000 civils. Pour le témoin Christoph Adam, ces raids étaient un crime de guerre et non une «vengeance» pour les crimes de guerre commis par les nazis.
Les relations entre Varsovie et Moscou ont significativement divergé ces derniers temps dans la vision des événements de la Seconde Guerre mondiale. Le sénateur russe Alexeï Pouchkov livre son avis.
La porte-parole de la diplomatie russe a à son tour pris la parole pour déclarer que les propos du Président ukrainien concernant la contribution de l’URSS au déclenchement de la Seconde Guerre mondiale «dépassent toutes les frontières», les qualifiant de «trahison pure et simple de l'histoire».
Face aux révisions récentes d’épisodes clés de la Seconde Guerre mondiale, une fondation historique russe initie la création d’une ressource commune de documents historiques liés à la période. Son directeur exécutif explique le projet à Sputnik.
Le Kremlin a exprimé ses regrets concernant les déclarations du Président ukrainien qui reproche à l’URSS d’avoir contribué au déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, tout en précisant à cette occasion qu’il ne savait pas encore si Volodymyr Zelensky devait être invité au défilé du 9 mai prochain qui célébrera les 75 ans de la Victoire.
Dans un message posté sur son compte Twitter, la représentation diplomatique américaine au Danemark a affirmé que la libération du camp d'extermination d'Auschwitz, dont le monde célèbre le 75e anniversaire, était due aux «soldats américains» et non à l’Armée rouge. Une erreur qui semble se répéter depuis un certain temps.
La Russie a qualifié d’«absolument erroné» et «vexant» le point de vue du Président ukrainien qui a reproché à l’URSS d’avoir contribué à l’éclatement de la Seconde Guerre mondiale, et ce, alors que les relations entre Moscou et Kiev ne sont déjà pas au beau fixe.
Après une visite au camp d’Auschwitz, le Président ukrainien a désigné l’Union soviétique comme responsable de la Seconde Guerre mondiale. Il s’aligne ainsi sur le Premier ministre polonais qui, en décembre 2019, avait mis sur un pied d’égalité l’URSS et l’Allemagne nazie dans le déclenchement de ce conflit.