L’arbre élevé en l’honneur de George Harrison
Tout le monde sait bien sûr que George Harrison était membre de l’un des groupes les plus populaires du monde, les Beatles. Mais peu savent qu’outre la musique, il était passionné de cinéma, de culture orientale, de développement spirituel et ... d’horticulture.
En 2004, un jeune pin a été planté dans le parc Griffith à Los Angeles en la mémoire de George Harrison. La plaque commémorative placée au pied de l’arbre indiquait : « En l’honneur d’un grand humaniste, artiste, musicien et horticulteur. »
Malheureusement, le pin a été tout récemment ravagé par des scarabées. Un nouvel arbre doit être planté très prochainement.
Un trou sur une toile de Picasso
Steve Wynn est l’un des hommes les plus riches au monde. Il possède près de la moitié des hôtels et des casinos de Las Vegas. Il est aussi un fervent collectionneur d’œuvres d’art. Parmi les perles de sa collection, on compte un Rembrandt d’une valeur de 33,2 millions de dollars et quelques paysages du peintre français, Claude Monet.
La pièce maîtresse de la collection de Steve Wynn est une œuvre de Pablo Picasso intitulée « Le Rêve », portrait de Marie-Thérèse Walter, la jeune compagne du maître âgée de 22 ans.
Wynn avait acheté le tableau à un collectionneur en 2001 et s’apprêtait à le vendre pour un montant incroyable de 139 millions de dollars en 2006, quand l’improbable s’est produit.
Montrant « Le Rêve » à ses amis, Wynn qui souffre d’une maladie rare et aime en discutant agiter énergiquement les bras, a accidentellement percé le tableau du coude. La restauration du chef-d’œuvre a coûté 90 000 dollars au milliardaire. En 2013, Steve Wynn a vendu « Le Rêve » de Picasso pour 155 millions de dollars même si les experts avaient estimé l’œuvre, après restauration, à seulement 85 millions de dollars.
Une restauration manquée
La fresque d’Elias Garcia Martinez « Ecce Homo », réalisée il y a plus d’un siècle, avait peu de chance de devenir célèbre au-delà de la petite ville espagnole de Borja, sans la restauration réalisée par l’octogénaire Cecilia Giménez.
Ayant remarqué que la fresque de l’église, en raison de la forte humidité, commençait à s’écailler, la paroissienne a décidé de son propre chef et à l’insu de tous de la « restaurer ». En résultat, le visage du Christ s’est mué en tête de singe. Le tableau a maintenant était surnommé avec humour « Ecce Mono » (Voici le singe) à la place de « Ecce Homo » (Voici l’homme).
L’église où se trouve la fresque « Ecce Homo » est depuis devenue une attraction touristique et quand le nombre de curieux souhaitant voir le « chef-d’œuvre » de Cecilia Giménez s’est mis à grimper, le clergé a décidé d’en faire payer l’entrée. Ainsi en quatre jours, 2 600 dollars ont été collectés. L’argent a été directement redistribué à une organisation de bienfaisance locale.
Le fauteuil pliant de Napoléon
Début 2014, un employé du Musée des Beaux-Arts a décidé de se prendre pour Napoléon Bonaparte et a placé son derrière sur le fauteuil qui avait auparavant appartenu au grand empereur français et « participé » à plusieurs de ses campagnes militaires. Bien sûr, l’objet a été endommagé : l’assise en cuir rouge s’est déchirée, la structure de bois s’est rompue.
Mais ne vous inquiétez pas, à présent tout va bien : le fauteuil a pu être restauré. L’employé du musée fauteur de trouble a reçu un avertissement.
L’accident de voiture le plus cher du monde
En décembre 2011, un groupe de propriétaires de voitures de luxe a décidé, après un salon de l’automobile, de faire la course dans la préfecture japonaise de Yamaguchi.
Tout se passait pour le mieux avant que le pilote d’une Ferrari F430 ne tente de dépasser une Toyota Prius, qui roulait à son avis trop lentement.
Il a perdu le contrôle du véhicule et a percuté une clôture, provoquant un accident de grande ampleur, impliquant sept autres Ferrari (360 Modena, F355 et Testarossa), une Lamborghini Diablo et plusieurs Mercedes de luxe.
Le montant total des pertes liées à l’accident s’élève à 4 millions de dollars.
Le cocktail le plus cher du monde
Salvatore Calabrese est le créateur du cocktail le plus cher du monde composé de 40 ml de cognac Clos du Griffier Vieux de 1788, 20 ml de liqueur Kummel de 1770, 20 ml de liqueur Dubb Orange Curacao de 1860, et de quelques gouttes d’Angostura des années 1900. Pour un tel cocktail, il vous en coutera 8 800 dollars.
En juin 2012, Salvatore Calabrese travaillait dans un club londonien. Un client lui a commandé le cocktail dont nous venons de donner la recette en lui demandant de lui montrer la bouteille du principal ingrédient : le cognac de 1788. Une fois la bouteille d’une valeur de 78 000 dollars en mains, il la laisse échapper, privant Salvatore Calabrese de son rêve : servir le cocktail le plus cher du monde. /N
