Selon le premier ministre, des "centaines d'individus partent en Syrie ou en Irak" où ils sont "formés au terrorisme" et d’où certains "reviennent" et auxquels les pouvoirs publics font face par des interpellations, des incarcérations. "1.200 à 1.400 personnes sont dans ce cas, beaucoup sont aujourd'hui en prison", a indiqué M.Valls.
Selon des experts français, il faut au moins cinq agents pour surveiller un suspect et il en faut une vingtaine pour assurer un contrôle 24 heures sur 24, ce qui s'avère impossible.