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Réunie ce mercredi, la commission d'enquête du Sénat a confirmé les informations selon lesquelles l'ancien chargé de mission à l'Élysée, Alexandre Benalla, a menti sous serment, notamment pour les contrats russes. Les sénateurs estiment que la présidence et la république françaises ont été mises en danger.
Alexandre Benalla et Vincent Crase ont menti sous serment sur les contrats russes: telle est la conclusion tirée ce mercredi par la commission des lois du Sénat qui s’est réunie autour du rapport d'enquête de Jean-Pierre Sueur et Muriel Jourda sur l'affaire Benalla. Il a été notamment déclaré lors de cette réunion que des collaborateurs de la présidence et des officiers de l’armée ont créé un risque pour les plus «hautes instances de l’État».
Lors de son intervention, le sénateur Jean-Pierre Sueur a déclaré sur l’affaire des contrats en question qu’il s’agissait d’un conflit d’intérêt mettant en danger la présidence de la République et la République elle-même. «La sécurité du Président et de la France est impliquée», a-t-il souligné.
Soulevant également la question du militaire Chokri Wakrim, qui aurait été impliqué dans un contrat négociée par Alexandre Benalla avec un oligarque russe, il a en outre souligné que «des collaborateurs du Président et des officiers de l’armée française ont fait courir un risque aux plus hautes instances de l’État».
Et de juger que la situation qui s’est créée découlait du «manque de précaution de la présidence sur l’indépendance de ses collaborateurs».
«Huit collaborateurs de la présidence, dont Alexandre Benalla, n’ont déposé aucune déclaration de transparence alors que la loi les y oblige», a-t-il déclaré.
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