Il s'est avéré que Nathalie Loiseau, qui avait auparavant parlé de son chat nommé Brexit, n'en avait finalement pas.
«J'ai fini par appeler mon chat Brexit. Il me réveille en miaulant à la mort parce qu'il veut sortir, et dès que je lui ouvre la porte, il reste planté au milieu, indécis, et il me jette un regard noir quand je le mets dehors», a publié le Journal du dimanche (JDD), relatant ce que la ministre des Affaires européennes avait écrit sur sa page Facebook.
Cependant, Mme Loiseau a affirmé dimanche après-midi au micro de Radio J: «C'est une plaisanterie évidemment. […] Je n'ai pas de chat».
Mardi, l'entourage de la ministre a confirmé que Nathalie Loiseau n'avait pas de chat, indique le site d'information HuffPost.
Cependant, cette blague a été largement reprise sur Internet au Royaume-Uni:
There's a solution but I'm not that sure the 27 other countries will agree with that;0) pic.twitter.com/NhXNBf0Ihr
— Jean-Luc Emanuele (@EmanueleJL) 18 марта 2019 г.
Il y a une solution mais je ne suis pas sûr que les 27 autres pays soient d'accord avec cela.
— Darren J. McDermott (@EURASEANEDU) 18 марта 2019 г.
#Brexit pic.twitter.com/GDTDxE3Dsx
— Andrew Brindle (@andrewb1970) 16 марта 2019 г.
Et Nathalie Loiseau n'est pas la première à avoir fait un rapprochement entre le Brexit et un chat. En effet, des comparaisons similaires avaient déjà circulé sur les réseaux sociaux.
Les anglais ont braillé jusqu'à ce qu'on leur ouvre la porte de l'UE, et maintenant que c'est fait ils ne savent pas si ils veulent sortir ou rester dedans. Je soupçonne les chats d'avoir pris le pouvoir en Angleterre… #Brexit
— Complots Faciles (@ComplotsFaciles) 14 марта 2019 г.
If Brexit were a cat…pic.twitter.com/1BTSSX6DDy
— Larry the Cat (@Number10cat) 16 января 2019 г.
Si Brexit était un chat.
Auparavant, la Chambre des communes, qui avait rejeté l'accord sur le Brexit proposé par Theresa May, ainsi que la possibilité de se retirer de l'UE sans accord, s'était prononcée en faveur du report du Brexit programmé le 29 mars. L'Union européenne se dit prête à reporter le Brexit si Londres présente une demande dûment motivée avant le 29 mars.
Lors du référendum de 2016, 52% des Britanniques avaient voté pour le Brexit.