«Lâches», «sans-c***lles»: Brigitte Bardot s’en prend au gouvernement et se dit «écœurée» par l’état de la France

© AP Photo / Jacques BrinonBrigitte Bardot (archivo)
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Brigitte Bardot a fait part de son indignation, sur Sud Radio, quant à la gouvernance du pays. Elle a tenu à prendre la défense des policiers et a fustigé les zones de non-droit où «plus personne ne peut rentrer». Elle en a appelé à plus de fermeté de la part des autorités.

Interrogée par Sud Radio, Brigitte Bardot a critiqué l’action gouvernementale, en particulier en matière de sécurité. 

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Suite à plusieurs agressions dont ont été récemment victimes les forces de l’ordre, l’ancienne actrice a dénoncé la passivité du gouvernement.

«Je suis épouvantée, je suis écœurée, et je trouve qu’on est gouverné par des lâches, soumis à une partie de la France qui maintenant n’appartient plus à la France. Les flics […] doivent assurer la sécurité de la population quoi qu’il arrive, et l’on doit toujours les respecter […] On est gouverné par des lâches, des soumis, des sans-couilles», a-t-elle déclaré au micro de la station.

Brigitte Bardot a par ailleurs admis que l’affrontement entre Gilets jaunes et policiers avait été «horriblement dur». En juin dernier, elle avait déjà pris la défense des forces de l’ordre sur Twitter, saluant «ceux qui nous protègent avec courage et abnégation», et s’en prenant aux «donneurs de leçon» et aux «trouillards émasculés».

Zones de non-droit et autorité

Pessimiste, l’ancienne égérie de Serge Gainsbourg a avoué songer parfois à quitter la France, «devenue dégueulasse». Elle s’est dite scandalisée par l’inaction du gouvernement, notamment concernant les zones de non-droit.

«Maintenant il y a des tas d’endroits où plus personne de peut rentrer, ni les flics, ni les pompiers, ni les médecins, ni personne. Maintenant c’est tout juste si on ne nous fout pas dehors avec un coup de pied dans le cul!», s’est-elle indignée chez Sud Radio.

Brigitte Bardot a conclu en estimant qu’il faudrait désormais «une main de fer» pour remédier à la situation et remettre «un peu les pendules à l’heure».

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