Les toxines qui s'exhalent lors de la combustion du bois et d'autres matières végétales peuvent augmenter le risque d'infection respiratoire, de mortalité infantile et d'insuffisance pondérale chez les nouveau-nés.
La mutation acquise par l'homme au cours de son évolution aide à neutraliser les dioxines et d'autres substances toxiques, ce que l'organisme des autres hominidés n'arrive jamais à faire. Ce changement génétique rend l'organisme insensible à certaines toxines et est attribué à l'ensemble des humains contemporains.
Les chercheurs ont eu recours à des méthodes informatiques et moléculaires afin d'examiner les différences entre les génomes de l'homme, des Néandertaliens et de l'hominidé de Denisova (espèce d'hominidé éteinte identifiée par analyse génétique en mars 2010, qui appartient au genre Homo et a vécu entre 1 million et 40 000 ans BP, dans des régions peuplées par l'homme de Néandertal et l'Homo sapiens). Les chercheurs ont notamment établi que ce dernier avait acquis une mutation qui diminuait de centaines de fois la sensibilité de l'homme aux matières volatiles de la fumée du feu.C'est également ce changement-là qui a aidé l'homme à développer une résistance à la fumée de cigarette lui permettant de fumer avec moins de risques de subir des maladies respiratoires.
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