A l'issue de longues négociations "fructueuses et constructives", le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a signalé à propos des Kurdes qu'ils ne devaient pas être utilisés pour le partage de la Syrie, à défaut de quoi une réaction en chaîne était inévitable dans la région.
"Je suis convaincu que les Kurdes doivent rester une partie de l'Etat syrien, une composante de la solution au problème et non pas un facteur utilisé pour diviser la Syrie, car alors cela provoquera une réaction en chaîne dans l'ensemble de la région, ce qui n'est dans l'intérêt de personne", a dit M.Lavrov à l'issue des négociations avec le secrétaire d'Etat américain John Kerry.