"La Syrie est determinée à respecter l'accord sur les zones de désescalade mais se réserve le droit de prendre des mesures en réponse à des violations de toute autre partie. Ces zones sont d'une nature temporaire et ne peuvent pas être instrumentalisées pour saper l'intégrité territoriale du pays", a indiqué M.Mouallem.
M.Mouallem a également souligné que la lutte antiterroriste en Syrie était "impossible" sans coordination avec le gouvernement en place et que toute présence d'une force armée étrangère dans le pays sans l'aval de Damas devait être considérée comme "une occupation, agression, violation du droit international et de la Charte des Nations unies".
Toujours d'après le ministre, la libération d'Alep, de Palmyre et de Deir ez-Zor à ouvert la voie vers la victoire défitive sur les terroristes opérant en Syrie.