«La plupart des citoyens influencés [par les rebelles, ndlr], ont été libérés sous caution. Ceux qui ont insulté [par leurs actions, ndlr] la République islamique, les fauteurs des troubles sont en garde à vue et seront jugés.»
Les manifestations ont commencé le 28 décembre dans plusieurs villes iraniennes, dont certaines ont dégénéré et fait des victimes, y compris parmi les représentants des forces de l'ordre.
Le 3 janvier, le commandant du corps des Gardiens de la révolution islamique Mohammad Ali Jafari a déclaré que les troubles dans le pays s'étaient soldés par un échec pour les manifestants.
Commentant la situation, le Président iranien Hassan Rohani a assuré que manifester était un droit constitutionnel du peuple, mais a mis en garde contre les violences. Il a en outre indiqué que les manifestations étaient aussi bien fomentées de l'extérieur que motivées par des problèmes internes.
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