« Pour l'instant les expériences ont été menées sur des souris de laboratoire à qui l'on greffait le cancer humain. Une injection de nanoparticules a ralenti la croissance des cellules tumorales et a réduit la tumeur de 90 % », a déclaré Evgueni Khaïdoukov du Centre de cristallographie et de photonique affilié à l'Académie des sciences de Russie à Moscou.
Evgueni Khaïdoukov et plusieurs autres chercheurs russes, ainsi que des experts français et australiens, ont mis au point des nanoparticules spéciales qui permettent d'utiliser les molécules de riboflavine, de la vitamine B2 ordinaire, pour tuer des cellules cancéreuses.Comme l'ont montré les observateurs, 50 jours après l'injection de nanoparticules et de leur exposition périodique au laser la méthode fonctionnait vraiment: la croissance des cellules cancéreuses était stoppée et le volume de la tumeur diminuait de 90% au cours de l'expérience.
Les chercheurs comptent poursuivre leur coopération avec les médecins du Centre de recherche oncologique russe Blokhine, co-auteurs de ce travail. La prochaine étape consiste à tester cliniquement cette méthode « vitaminée ».
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