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Les élections du 15 mars aux Pays-Bas préoccupent sérieusement les voisins du pays: ce vote pourrait marquer le début de la marche des populistes vers le pouvoir en Europe. Mais les électeurs restent impassibles: le système de freins de la plus ancienne démocratie du Vieux Continent a déjà digéré des politiciens plus durs que Geert Wilders.
Le « Guide du pessimiste pour 2017 » édité par l'agence Bloomberg prédit que c'est aux Pays-Bas que commencera la vague de victoires des populistes européens qui prônent le renforcement des frontières, l'abandon de l'euro et même de l'Union européenne. Le programme du Parti pour la liberté ( PVV ) fondé par Geert Wilders en 2006 inclut même des plans encore plus radicaux tels que la fermeture des écoles islamiques ou encore la déportation des citoyens à double nationalité avec un casier judiciaire. Si le PVV est bien parti pour occuper de nombreux sièges au parlement, le succès du parti de Wilders, même le plus fantastique, conduirait-il réellement à des réformes radicales ? Probablement pas, et voici pourquoi.
Les états généraux — nom du parlement néerlandais, se composent de deux chambres: la première est le sénat avec 75 places et la seconde dispose de 150 places. La seconde chambre possède plus de pouvoirs: elle forme le gouvernement, le contrôle et adopte de nouvelles lois ( et ce depuis 1815, avant tous les autres pays du continent). Mais comme en réalité aucun parti ne parvient à y obtenir la majorité absolue ( c'est-à-dire plus de 75 sièges ) pour former le cabinet, après les élections commencent des négociations pour constituer une coalition majoritaire de deux fractions ou plus.
Selon les derniers sondages, le PVV de Geert Wilders pourrait obtenir jusqu'à 30 sièges. Toutefois, avant les élections, la plupart des partis qui pourraient former une coalition avec le PVV ont déjà renoncé à collaborer avec ce dernier, c'est-à-dire tous les leaders du classement derrière le PVV: le VVD libéral de droite ( 25 sièges d'après les sondages ), les chrétiens démocrates et les Démocrates 66, à qui l'on promet 17 mandats. Le premier ministre Mark Rutte ( VVD ) est allé jusqu'à qualifier les chances de travailler conjointement avec Wilders comme « nulles ». Selon le chef du gouvernement, cela ne s'explique pas seulement par les opinions anti-islamiques de Wilders mais également par les différends sur les questions socioéconomiques, ainsi que l' « expérience de 2012 » — quand Wilders avait refusé au gouvernement de Rutte le soutien promis plus tôt, ce qui avait entraîné la démission du cabinet.
Le parti PVV pourrait connaître le même sort cette fois. Certes, d'après les sondages, le PVV pourrait s'emparer de nombreux sièges aux législatives du 15 mars. Quoi qu'il en soit, le plus intéressant commencera après les élections: ce ne sont pas les programmes de campagne mais l'accord de coalition qui change la vie de la population aux Pays-Bas. Les experts supposent que le nouveau cabinet se composera de 4 ou 5 partis, ce qui compliquera la prise de décisions, alors que les partisans de Wilders, faute d'alliés dans le nouveau parlement, resteront très probablement dans l'opposition.
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