Étrangement, dans la nouvelle loi, il n'y a pas de point, tel sur les harcèlements dans la rue, en effet, c'est plus actuel non seulement pour la France, mais aussi pour l'Europe. Il suffit de se rappeler l'histoire récente d'une jeune fille se promenant à Bruxelles avec une caméra cachée. Presque à chaque pas, elle entendait des compliments équivoques ayant un caractère sexuel, prononcés avec un accent caractéristique. Suivant les résultats de la promenade, la jeune fille a fait le film « Une Femme dans la rue » qui choque la société : 9 harcèlements sur 10 venaient de la part des immigrés.
Est-ce que la nouvelle loi adoptée par le nouveau gouvernement français arrivera jusqu’aux oreilles des immigrés, prêts à draguer les belles Françaises de souche, et les obligera à réfléchir ? Le publiciste et le politologue Maxime Brousilovsky répond à la question de La Voix de la Russie.
« Il me semble, cette loi n’aura pas une grande influence et ne causera pas un préjudice à la politique du multiculturalisme et à la tolérance, puisque probablement, il fait appel aux Français de souche, et non aux immigrés. Il y a une parallèle aussi avec la Russie, où il existe l’ âge légal du début des relations sexuelles. Si cette loi est violée par un Russe, on s’y rapportera avec sévérité. S’il s’agit d’une personne d’origine caucasienne ou asiatique, on le considère avec plus d’indulgence, puisque, je cite, «chez eux, il y de telles traditions». Je pense que ce sera le même cas en France ».
L'opinion du politologue est fondée sur le fait que les immigrés français sont principalement les originaires des pays arabes et du Maghreb, où existent des traditions et des clichés particuliers du comportement sexuel. Il suffit de se rappeler l'histoire terrible d’il y a 4 ans, lorsqu’une journaliste canadienne fut violée par des immigrés directement dans un camp de réfugiés, où elle faisait son reportage. Un autre exemple : en 2007, il y a eu un autre assassinat sauvage : un Turc a attaqué dans un train une jeune Française, et, ayant reçu de la résistance, l'a tuée de 30 coups de couteau.
Peut-on comparer ces crimes aux clins d'œil innocents au bureau, qui peuvent être qualifiés suivant l'article de harcèlements sexuels ? /L
