La Baronne de Rothschild et sa macabre passion pour la souffrance animale

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Usuriers planétaire d’un système d’endettement global pour les uns, illuminati à la tête d’un complot de domination mondiale pour d’autres. Cette famille a depuis deux siècles suscité les fantasmes et les doutes sur ceux qui gouvernent les gouvernements. Opinion sur un des aspects terrifiants de Monique de Rothschild, ou la passion morbide de la Baronne pour les sacrifices d’animaux.

« Bon sang ne sait mentir ». La baronne Monique de Rothschild décida en 1961 de remonter un équipage de chasse à courre sous le nom de « la futaie des amis » qui jusqu’à présent chasse le gibier et particulièrement les cerfs dans la Forêt d’Ourscamps, en Compiègne et Laigue.

Ces « amis » de la Baronne ont regroupé en meute une centaine de chiens de chasse anglo-français. Des chiens de race évidemment… Les chemins forestiers de son domaine ont été barrés pour éviter la présence des gueux habitant les environs. Madame peut donc, deux fois par semaine, s’amuser avec son équipage à chasser les cerfs et autres animaux de nos bois.

Il ya une bonne dizaine d’années, la baronne se faisant âgée donna les « rennes » de l’équipage à son fils. Cependant, hors de question pour Madame de rater le spectacle de la vènerie (terme officiel de la chasse à courre).

La chasse à courre s’avère toutefois dénoncée comme un héritage sanglant et désuet par des associations de protection des animaux. Ce plaisir douteux est d’ailleurs souvent réservé à une caste de nobles et de fortunés qui n’a rien à apprendre des roturiers locaux et de leur cause animale incompréhensible pour ces châtelains.

Avec Madame la Baronne et sa descendance, cette chasse à courre semble pourtant atteindre des sommets dans l’horreur et la souffrance du gibier qui a le malheur de croiser le chemin de ces véritables psychopathes déguisés en chasseurs.

Bruno Cardon, un citoyen s’étant interposé entres les valets de la Baronne et un cerf en train de se faire massacrer en plein village, témoigne : « Le samedi 15 Janvier 2005, des chasseurs à courre sont venus finir leur sale besogne au sein même du village de La Brévière St Jean-aux-Bois, dans l’Oise, sous les yeux d’enfants et de badauds.

Ils voulaient égorger de la manière la plus immonde un cerf, bel animal hébété, perdu et résigné. Ils lui ont d’abord jeté des pierres pour qu’il reste acculé le long de la clôture, puis avec une barre de fer, ont essayé de lui faire plier les pattes arrières ; deux hommes lui ont attrapé les bois, lui tordant la tête jusqu’à terre pendant que le troisième lui enfonçait une lame dans le cou, ceci à plusieurs reprises. Ne parvenant pas à finir l’animal, toujours debout et blessé, ils l’ont tiré sur plusieurs mètres pour l’égorger loin des regards indiscrets.

Avant que l’animal ne soit achevé, j’ai tenté de m’interposer en jetant une bûche en direction de ses assaillants, espérant faire fuir le cerf, mais c’est le piqueur qui tentait de le saigner qui l’a prise sur la tête. Certains diront même avoir entendu pleurer le cerf....... ! L’image de ce cerf restera gravé à vie dans ma mémoire ».

Bruno sera condamné : 3 mois de prison avec sursis et 5 ans de mise à l’épreuve, 1300 euros d’amende. Tout ça pour avoir jeté une bûche pour faire fuir un cerf que les chasseurs à courre tentaient d’assassiner à coups de barre de fer et de coups de couteaux répétés, dans une grande violence, et dans un village.

Un autre journaliste d’investigation que nous avons rencontré enquête également sur le fait que les enfants de certaines familles de la noblesse seraient éduqués dans l'optique d’en faire des hommes et femmes totalement dénués de sentiment humains ou moraux. Il note que dans l’affaire « Cardon », les chasseurs étaient d’une cruauté inouïe, jouissant de la violence causée par les coups de barre de fers qui brisaient les pattes de l’animal épuisé d’une poursuite par une centaine de chiens hurlant. De même, avant cette affaire, des coups de cravaches auraient été portés à plusieurs reprises par ces « chasseurs » sur des promeneuses s’étant égarées dans le domaine.

L’année suivante cette fois, c’est un cerf qui a miraculeusement survécu à la baronne sanglante. A Compiègne, un cerf traqué s'est réfugié, affolé, dans une propriété privée.
Les propriétaires et quelques voisins aussi, se sont émus de cette traque meurtrière et ont empêché la mise à mort, c'est à dire ce que ces chasseurs appellent l'hallali.

Il s’ensuivit une colère monstre de la baronne qui arriva en tout-terrain chez les propriétaires et vitupéra contre ces manants qui osent interférer dans le libre exercice sanglant des veneurs et du maître d'équipage. Des insultes sont lancées et provoquent l’intervention de policiers qui débarquent et neutralisent l’accès à la propriété où l’animal s’est réfugié. Le cerf s'échappe miraculeusement par l'arrière, reprenant le chemin à l'envers sous l’applaudissement des habitants. L’animal fut sauvé.

Un mois plus tard, le dieu des cerfs était décidemment à Compiègne. Un blogueur anonyme raconte : « un cerf (le même ?) qui échappe encore une fois à cet équipage (… ) présidé par la vieille radasse de Rothschild. Ce cerf, après plusieurs heures de traque éprouvante, le cœur battant à s’en faire exploser la poitrine, a trouvé refuge à Compiègne et a réussi, comme la dernière fois, à échapper à la horde de sadiques déguisés en valets de chambre. (…) Ils doivent être énervés à se taper la tête contre les murs du château, ont du se venger malgré tout sur n’importe quel être vivant plus faible qu’eux et vont balancer des commentaires à pleurer sur la noblesse de leur art « séculaire » de massacrer en paix ».

Quant à la Baronne, elle met en vente un livre disponible actuellement où elle raconte sa dévotion pour la chasse à courre et se souvient du massacre de son premier cerf à son millième. Son titre : « A cœur et à cri ». Une apologie de la souffrance animale et du narcissisme…

Tout va bien dans le meilleur des mondes chez les Rothschild. Créanciers de la planète via leurs banques et leurs représentants qui vampirisent les populations débitrices pour l’éternité. D’ailleurs, cette famille se retrouve partout où il y a de l’argent et des intérêts à payer. De l’Afrique et ses « ajustements structurels » à l’Europe et son « austérité » Ils ont du flair, les Rothschild. Là où le porc trouve les truffes, le Rothschild renifle l’or et la misère. Après tout, si la Baronne aime les chiens de chasse et à l’instinct d’un prédateur, elle n’y peut rien. C’est simplement génétique, diront les mauvaises langues.

Et qu’on ne vienne pas nous brandir l’arme de l’antisémitisme et les caricatures racistes du 19e siècle voyant les Rothschild les doigts crochus sur le globe terrestre comme prétexte à censure. Peu importe pour les animaux massacrés que la Baronne soit d’une confession ou d’une autre et aux victimes des banques organisées que leurs propriétaires prient Dieu dans une langue plutôt que dans une autre. Nous avons tous une âme de la naissance jusqu’à notre mort… peut être que certains individus la vendent au plus offrant en cours de route. N

 

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