« C'est un devoir humain de comprendre et de partager la volonté des Arméniens de commémorer les souffrances qu’ils ont endurées pendant cette époque », a déclaré le premier ministre.
« Mais se servir des événements de 1915 comme un prétexte d’hostilité envers la Turquie et les transformer en conflit politique est inacceptable », a-t-il nuancé.
Malgré tout, les Arméniens ne voient pas dans cette déclaration un pas vers le rapprochement entre Ankara et Erevan…(lire plus).