Pour améliorer le fonctionnement de notre site, accroître la pertinence des contenus informationnels et optimiser le ciblage publicitaire, nous collectons des informations techniques anonymisées sur vous, notamment à l’aide d’outils de nos partenaires. Le processus de traitement des données personnelles est décrit en détail dans la Politique de confidentialité. Les technologies que nous mettons en œuvre pour ce faire sont décrites en détail dans la Politique d’utilisation des cookies et d’enregistrement automatique.
En cliquant sur "Accepter et fermer", vous acceptez que vos données personnelles soient utilisées dans les buts décrits ci-dessus.
Vous pourrez revenir sur votre choix et retirer votre consentement en utilisant n’importe quel autre moyen indiqué dans la Politique de confidentialité.
Réfugié depuis 2012 à l'ambassade d’Équateur à Londres, le fondateur du site WikiLeaks, Julian Assange, a été arrêté le 11 avril 2019 par la police britannique. Selon Wikileaks, l'ambassadeur équatorien a «invité» la police pour arrêter M.Assange.
Alors que le procès de Julian Assange se poursuit et que le fondateur de WikiLeaks risque une peine de prison pouvant aller jusqu’à 175 ans, un témoin affirme que les États-Unis voulaient l’enlever, voire l’empoisonner.
Le Président américain a proposé de gracier Julian Assange si celui-ci révèle la source du piratage des courriels du Comité national démocrate avant la Présidentielle de 2016, écrit Reuters qui se réfère à l'avocat du fondateur de WikiLeaks.
Incarcéré à la prison londonienne de haute sécurité de Belmarsh, Julian Assange est transporté tous les matins une heure et demie dans chaque sens dans une «camionnette claustrophobe» pour subir des examens radiographiques, indique sa compagne sur Twitter.
Le procès qui doit décider de l’extradition de Julian Assange réclamée par les États-Unis où il encourt jusqu’à 175 ans de prison reprend ce 7 septembre au Royaume-Uni. Un rassemblement en son soutien a été tenu à Paris.
Lors d'une conférence de presse organisée avec RSF, Eric Dupond-Moretti avait exhorté Emmanuel Macron à accorder l'asile politique à M. Assange au vu de sa «situation désespérée». L'association Robin des Lois, qui milite pour l'amélioration des droits des détenus, reprend cette proposition.
Dans une lettre collective, plus de 200 médecins alertent sur l’état de santé du père fondateur de WikiLeaks, détenu dans une prison londonienne de haute sécurité.
Une deuxième vague d’accusations a été portée contre Julian Assange, dénonçant un complot avec des pirates informatiques d’Anonymous, a-t-il été déclaré dans un communiqué du ministère américain de la Justice.
Après l’annonce sur la mort d’un détenu contaminé par le coronavirus dans la prison de haute sécurité de Belmarsh, où se trouve le lanceur d’alerte Julian Assange, WikiLeaks a exprimé son inquiétude sur Twitter.
Sur fond de propagation du Covid-19 et préoccupés par l'état de santé de Julian Assange, ses avocat ont demandé sa remise en liberté sous caution. Une demande rejetée par la justice britannique ce 25 mars.
Inquiets pour la santé de leur client à cause de l’épidémie de coronavirus, les avocats de Julian Assange ont annoncé qu’ils demanderaient sa libération sous caution.
Le procès de Julian Assange a récemment démarré à Londres. Il pourrait déboucher sur son extradition vers les États-Unis, un pays où le fondateur de WikiLeaks sous le coup de 18 chefs d’inculpation, risque 175 ans de prison. Pepe Escobar, journaliste indépendant, revient pour le Désordre mondial sur les tenants et aboutissants de ce procès.
Julian Assange comparaît devant la justice britannique qui doit trancher sur son extradition vers les États-Unis où il encourt jusqu’à 175 ans de prison pour «espionnage». Au-delà du traitement qui lui est infligé, le sort réservé à ce lanceur d’alerte, dans une quasi-indifférence médiatique, en dit long sur l’état des libertés en Occident.
Julian Assange sera-t-il extradé vers les États-Unis? il faudra attendre la mi-mai pour le savoir, la justice britannique ayant suspendu sa décision. Bruno Marty, caricaturiste pour Sputnik, illustre le calvaire du fondateur de WikiLeaks.
Alors que la justice britannique se penche sur la demande d’extradition de Julian Assange vers les États-Unis où il risque jusqu’à 175 ans de prison, essentiellement pour violation de l’Espionage Act, des soutiens du fondateur de WikiLeaks manifestent en face de la prison de Belmarsh. Sputnik s’est entretenu avec certains d’entre eux.
Réclamé par la justice américaine pour avoir publié une masse d'informations classifiées, le fondateur de WikiLeaks Julian Assange va s'efforcer à partir du 24 février de convaincre la justice britannique de refuser de l'extrader vers les États-Unis.
Les partisans de Julian Assange ont projeté une vidéo de soutien au fondateur du site WikiLeaks sur les murs du parlement britannique, à Londres, appelant à tenir des marches de protestation contre l’extradition d’Assange vers les États-Unis.
Coup de tonnerre dans le procès de Julian Assange. Selon la défense du lanceur d’alerte, Donald Trump aurait offert au fondateur de Wikileaks sa grâce s’il admettait l’absence d’implication russe dans le piratage du Parti démocrate. Décryptage avec Antoine Lefébure, expert des technologies de la communication.
Les avocats de Julian Assange, fondateur de WikiLeaks, étudient actuellement les mesures à prendre afin que leur client puisse bénéficier du statut de réfugié politique en France.
Dans une lettre ouverte, 117 experts de 18 pays «condamnent la torture d'Assange» et le déni continu «de son droit fondamental» à des soins de santé appropriés, se déclarant profondément préoccupés par cette «politisation des principes médicaux fondamentaux».
Jeremy Corbyn a demandé au Premier ministre britannique s'il acceptait la résolution de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe qui dénonce l'extradition vers les États-Unis de Julian Assange. Sans commenter l’affaire, M.Johnson a indiqué que «les droits des journalistes et des lanceurs d'alerte doivent être respectés».