Pour améliorer le fonctionnement de notre site, accroître la pertinence des contenus informationnels et optimiser le ciblage publicitaire, nous collectons des informations techniques anonymisées sur vous, notamment à l’aide d’outils de nos partenaires. Le processus de traitement des données personnelles est décrit en détail dans la Politique de confidentialité. Les technologies que nous mettons en œuvre pour ce faire sont décrites en détail dans la Politique d’utilisation des cookies et d’enregistrement automatique.
En cliquant sur "Accepter et fermer", vous acceptez que vos données personnelles soient utilisées dans les buts décrits ci-dessus.
Vous pourrez revenir sur votre choix et retirer votre consentement en utilisant n’importe quel autre moyen indiqué dans la Politique de confidentialité.
L'accord économique et commercial global (AECG), ou Comprehensive Economic and Trade Agreement (CETA), est le traité signé par le Canada et l'Union européenne le 26 septembre 2014. L'AECG implique la suppression des droits de douane pour presque tous les produits sauf certains produits agricoles. Afin que l'accord entre en vigueur, l'ensemble des assemblées législatives régionales, communautaires et fédérales de Belgique doivent le ratifier. Or, le 17 octobre 2016, l'assemblée législative de la Région wallonne a refusé de le faire.
L'Assemblée nationale a voté ce mardi 23 juillet la ratification du traité de libre-échange CETA entre l'Union européenne et le Canada, par 266 voix contre 213 et 74 abstentions.
Un vote par scrutin public sur le projet de loi autorisant la ratification du traité économique et commercial entre l'Union européenne et le Canada se déroule ce mardi 23 juillet à l’Assemblée nationale.
L’Assemblée nationale discute ce mercredi 17 juillet le projet de loi ouvrant la voie à la ratification du traité économique et commercial entre l'Union européenne et le Canada.
L’accord de libre-échange entre l'UE et le Canada (CETA), que l'Assemblée nationale devrait ratifier le 17 juillet prochain, a été adopté par la France, a déclaré Jean-Baptiste Lemoyne, le secrétaire d'État auprès du ministre de l'Europe et des Affaires étrangères.
Saisi par plus de 60 députés, lundi, le Conseil constitutionnel français a validé l’accord économique et commercial entre l'Union européenne et le Canada (CETA), l'estimant compatible avec la Constitution française.
L’accord sur le libre-échange entre l’UE et le Canada (CETA) serait incompatible avec la Constitution française, estiment les députés français de gauche qui entendent saisir le Conseil constitutionnel.
Le CETA vient de franchir un nouvel obstacle: le parlement européen a ratifié cet après-midi l’accord de libre-échange entre la France et le Canada. Le texte sera mis en application de façon provisoire dès le 1er mars: mais qu’adviendra-t-il si un candidat qui s’y oppose est élu en France?
Les députés européens ont donné leur feu vert à l’application de l’accord de libre-échange entre l’UE et le Canada (CETA, ou AECG en français) malgré de nombreuses actions de protestation en Europe.
Une pétition contre le très critiqué accord canado-européen AECG a amassé 3,5 millions de signatures. Le texte de l’accord a été remis aux parlementaires, qui y consacrent un vote ce mercredi.
En quoi le traité de libre-échange transatlantique signé entre le Canada et l’Union européenne représente-t-il le triomphe du droit privé sur celui des États-Nation ? Frank Dedieu, professeur à l’IPAG et Djordje Kuzmanovic, secrétaire national du Parti de Gauche chargé des questions internationales, en débattent avec Jacques Sapir.
En quoi le traité de libre-échange transatlantique signé entre le Canada et l’Union européenne représente-t-il le triomphe du droit privé sur celui des États-Nation ? Frank Dedieu, professeur à l’IPAG et Djordje Kuzmanovic, secrétaire national du Parti de Gauche chargé des questions internationales, en débattent avec Jacques Sapir.
A peine signé, le traité de libre-échange euro-canadien (CETA) semble déjà rencontrer des obstacles vu le désir néerlandais de tenir un référendum.
L'Union européenne et le Canada ont officiellement signé, dimanche à Bruxelles, l'accord de libre-échange CETA. Conçu pour supprimer les droits de douane pour presque tous les produits transitant entre l'UE et le Canada et contribuer à la création d’emplois, le Ceta sème pourtant des doutes et des peurs parmi les producteurs européens.
Les Belges viennent de bloquer l’accord de libre-échange entre l’Union Européenne et le Canada. Devrait-on, par moralité en cette période de crise, faire tout notre possible pour que les populations nationales limitent leur consommation uniquement à l’intérieur de leurs frontières nationales ou régionales?
Après la signature du CETA, plusieurs ONG comptent faire avorter sa ratification éventuelle au Parlement européen. Sputnik s’est entretenu à ce sujet avec un membre de Global Justice Now, une organisation britannique vouée à la justice sociale.
L'Union européenne et le Canada ont officiellement signé dimanche à Bruxelles l'accord de libre-échange (CETA), une signature retardée de trois jours par de vifs désaccords internes en Belgique.
Ce vendredi, le parlement de la région belge de Wallonie a finalement donné son feu vert à la signature par la Belgique de l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada (CETA).
Les irréductibles Wallons ont fini par accepter de signer le traité de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada. Un retournement complet de situation en échange des concessions faites par la Commission.
Après deux semaines de psychodrame et de négociations marathon, l'opposition de la Wallonie à l'accord de libre-échange UE-Canada (CETA ) était en passe d'être levée vendredi, ce qui devrait ouvrir la voie à la signature prochaine de ce traité transatlantique.
La volonté exprimée aujourd’hui par la Belgique de signer l’accord CETA a provoqué une vague de controverses. Dans une interview accordée à Sputnik, les hommes politiques français Jean-Frédéric Poisson et Jean-Didier Berthault, commentent cette actualité.