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Un professeur d'histoire-géographie, qui avait montré à ses élèves des caricatures de Mahomet pendant des cours sur la laïcité, a été décapité près d'un collège vendredi à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) dans «un attentat terroriste islamiste caractérisé», selon les mots d'Emmanuel Macron, trois semaines après l'attaque devant les anciens locaux de Charlie Hebdo.
Sept hommes, dont certains sont d’origine tchétchène, ont été interpellés dans l’enquête sur l’assassinat de Samuel Paty, notamment à Toulouse, Lyon, Rouen, Besançon, en Seine-et-Marne et dans le Maine-et-Loire.
Une plainte a été déposée par l’établissement où enseignait Samuel Paty, après réception d'un message vocal «menaçant». Il s’agissait d’une accusation de laxisme en ce qui concerne la défense du professeur décapité après avoir montré des caricatures du prophète Mahomet à ses élèves, dans le cadre de cours sur la liberté d'expression.
Le jeune fils de Samuel Paty sera pris en charge par l'État. Son statut de pupille de la Nation lui sera octroyé le 15 décembre, selon La Gazette du Val-d'Oise.
L'enterrement d'Abdoullakh Anzorov, assassin du professeur français tué en octobre pour avoir montré des caricatures de Mahomet à ses élèves a eu lieu le 6 décembre en Tchétchénie.
La communauté enseignante a dénoncé la publication «déplacée» et «insupportable» de l’annonce de poste à pourvoir sur Pôle emploi dans le collège où enseignait Samuel Paty. L’Académie de Versailles l’a retirée tout en reconnaissant «une maladresse» de ses services.
Tandis que le gouvernement a annoncé ses plans de dissoudre le Collectif contre l'islamophobie en France après l'assassinat de Samuel Paty, le groupe s'est dissous lui-même pour se redéployer à l'étranger. Le collectif a en outre rejeté en bloc les accusations «mensongères», d'après lui, de proximité avec l'islamisme.
Quatre autres collégiens ont été mis en examen mercredi dans l'enquête sur l'assassinat du professeur Samuel Paty, décapité le 16 octobre dernier après avoir montré des caricatures de Mahomet à ses élèves.
«Je vous ai mis sur ma liste de connards à décapiter le jour où ça arrivera»: le sociologue au sein de l’université Paris 8 Éric Fassin a reçu ces menaces le lendemain de la décapitation de Samuel Paty par un terroriste. Le professeur affirme avoir déposé une plainte auprès de la police judiciaire.
Un clip réalisé par le rappeur Maka fait allusion de manière agressive à la récente décapitation de Samuel Paty. Plusieurs voix se sont élevées pour dénoncer les paroles de ce morceau et demander des sanctions contre son interprète.
Âgé de 14 ans, un adolescent scolarisé au collège Lucie Aubrac de Tourcoing (Nord) a proposé à l’un de ses camarades de «faire le djihad», affirmant être «prêt à passer à l’acte» «avec une ceinture d’explosifs». Placé en garde à vue, il a évoqué «une plaisanterie» et a déclaré qu’il déplorait l’ampleur que cette affaire avait prise.
Beaucoup de Français ont découvert l’existence du Conseil de Défense à l’occasion de la crise du Covid-19. À quoi sert cet organisme qui conseille Emmanuel Macron? Analyse de François Chauvancy, général de brigade (2S) de l’armée de Terre et docteur en sciences de l’information et de la communication, pour le Désordre mondial.
Après l’assassinat de Samuel Paty, de nombreux professeurs ont été menacés. À Albertville, quatre écoliers de 10 ans ont ainsi été arrêtés après avoir approuvé l’attentat et lancé des propos relevant de l’apologie du terrorisme.
«Vous êtes bien Madame XXX? Vous avez bien rendu hommage à Samuel Paty?». Une enseignante d'histoire-géographie d’un lycée de Montbéliard a déposé une plainte après avoir reçu un appel anonyme à la suite d’un cours en lien avec l'hommage national rendu au professeur décapité. Une élève a été auditionnée après cette «mauvaise blague».
Depuis l’assassinat de Samuel Paty, la police a procédé à de nombreuses interpellations pour apologie du terrorisme. C’est le cas de deux collégiens de Hyères, jeudi 5 novembre. La cause: l’un a crié «Allahu akbar» en entrant dans sa classe alors que l’autre a déclaré que Samuel Paty avait «mérité» son sort.
Dix personnes sont désormais mises en examen dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat du professeur Samuel Paty, décapité le 16 octobre par un terroriste. En effet, trois nouveaux noms ont été ajoutés à la liste, dont deux hommes de 18 ans, un Français et un Tchétchène, informe l’AFP.
Parmi les environ 400 perturbations de la minute de silence observée en hommage à Samuel Paty dans les écoles le 2 novembre, une dizaine de cas graves ont été remarqués dont l’apologie du terrorisme, a déclaré Jean-Michel Blanquer à RTL. Toute violation a été suivie de poursuites disciplinaires voire pénales.
Le 2 novembre, jour de la minute de silence nationale décrétée en l'honneur du professeur Samuel Paty décapité par un islamiste, un adolescent de 15 ans a été interpellé à Caluire-et-Cuire pour avoir proféré des menaces contre un enseignant.
Interrogés par les enquêteurs, les collégiens soupçonnés d’être impliqués dans l'attentat qui a coûté la vie à Samuel Paty ont raconté comment ils avaient passé leur après-midi du 16 octobre, rapporte Le Parisien. Selon le journal, ils ont été dépassés par la situation.
Alors que les écoles françaises ont rendu hommage, lors de la rentrée de lundi, à la mémoire de Samuel Paty, décapité par un islamiste, la minute de silence observée à cette occasion a suscité pour certains davantage de rires que de tristesse. Ils ont partagé leur joie sur Twitter.
Le lycée Monge-La Chauvinière à Nantes a vécu une rentrée particulièrement mouvementée lors de l’hommage à Samuel Paty ce lundi matin. Une trentaine d’individus ont bloqué les abords de l’établissement avec des barrières de chantier et jeté des projectiles sur le personnel du lycée.