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Une vague de manifestations s’est déclenchée en Biélorussie après la fin de la présidentielle du 9 août remportée par Alexandre Loukachenko. Selon la Commission électorale centrale, le Président en exercice a recueilli 80,1% des voix. Toutefois, l’opposition estime qu’il faut donner la victoire à la principale rivale de M.Loukachenko, Svetlana Tikhanovskaïa, qui compte 10,8% des voix, d'après les données officielles.
Une action de distribution de cadeaux organisée dans les rues de la capitale biélorusse s’est soldée par l’interpellation de deux femmes déguisées en pères Noël, relate le site d’actualité biélorusse Nacha Niva.
À l'instar de l'Union européenne, la Suisse a sanctionné le Président biélorusse Alexandre Loukachenko et plusieurs membres de son entourage qui ne pourront désormais ni entrer dans le pays ni y transiter.
Le Président biélorusse, Alexandre Loukachenko, a déclaré qu’il ne dirigerait plus la Biélorussie après l’adoption de la nouvelle Constitution et n’avait donc aucune raison de l’adapter à ses besoins.
Les forces de l’ordre ont arrêté, notamment avec utilisation de «moyens spéciaux», plus de 200 personnes à Minsk dans le cadre des manifestations de l’opposition contestant les résultats de la présidentielle.
Les manifestations en Biélorussie, qui se poursuivent depuis plus de trois mois dans le pays, ont abouti ce 15 novembre à l’interpellation de plus de 500 personnes, informent les défenseurs des droits de l'Homme. Cinq journalistes russes, dont une de Sputnik, ont en outre été arrêtés.
Les manifestations qui ont démarré en Biélorussie le jour même de l’élection présidentielle se poursuivent et prennent une ampleur particulière tous les dimanches. De nouvelles interpellations ont eu lieu ce 15 novembre à Minsk et dans d’autres villes du pays. Selon les défenseurs des droits de l’Homme, le nombre de personnes arrêtées dépasse 200.
Les autorités biélorusses ont a déclaré personae non gratae deux diplomates britanniques en poste dans le pays tout en se déclarant ouvertes au dialogue avec Londres.
Olga Khizhinkova, élue Miss Biélorussie en 2008, a été arrêté lors d’une marche de protestation, rapportent des témoins oculaires. Les manifestations se poursuivent dans le pays depuis la réélection controversée d'Alexandre Loukachenko le 9 août.
La police de Minsk déclare avoir été attaquée dimanche par des manifestants armés de pierres. Les policiers précisent avoir réussi à maîtriser ces assaillants ayant lancé des projectiles sur un commissariat et des véhicules des forces de l’ordre.
Alors que le délai de l’ultimatum qu’elle avait lancé aux autorités arrive à expiration, l’opposante biélorusse Tikhanovskaïa a appelé à la grève générale, dès le 26 octobre.
La manifestation non autorisée, qui s’est tenue au centre de Minsk quelques heures avant l’expiration de l’ultimatum lancé à Alexandre Loukachenko par l’opposante Svetlana Tikhanovskaïa, s’est terminée par des interpellations et l’usage de «moyens spéciaux» par les forces de l’ordre.
Les forces de l’ordre biélorusses ont arrêté les membres d’une équipe de tournage de la chaîne de télévision Sky News, à Minsk, avant de les relâcher. Les manifestations se poursuivent depuis l’élection présidentielle du 9 août, l’opposition mettant en doute les résultats du scrutin.
À quelques jours de l’expiration de l'ultimatum des opposants biélorusses, prévoyant des manifestations de masse, des grèves nationales dans les entreprises et des barrages routiers, Svetlana Tikhanovskaïa a exhorté les forces de l'ordre «à se mettre du côté du peuple». Selon elle, il est illégal de ne défendre qu’«une seule personne».
Un correspondant de Sputnik qui couvrait une mobilisation d’étudiants non autorisée à Minsk a été interpellé par les forces de l’ordre biélorusses ce 17 octobre. Il a été libéré plus tard dans la journée.
Pour disperser les participants d’une manifestation de retraités qui a eu lieu le 12 octobre à Minsk, les forces de l’ordre ont eu recours au gaz lacrymogène ainsi qu’à des grenades assourdissantes, rapporte le service de presse du Comité exécutif de la ville.
Deux mois après la présidentielle, la Biélorussie reste le théâtre de manifestations, notamment à Minsk où l’action de ce 11 octobre a été réprimée à l’aide de canons à eau. Plusieurs interpellations de journalistes ont par ailleurs eu lieu.
Le peuple biélorusse doit «décider de son propre chef» comment régler la situation qui s’est créée dans le pays, a déclaré l’ambassadeur russe aux États-Unis.
La cheffe de l'opposition biélorusse, Svetlana Tikhanovskaïa, prononce un discours en ligne devant l'Assemblée nationale ce 7 octobre suite à sa rencontre avec Emmanuel Macron en Lituanie.
Le Président russe Vladimir Poutine a dit mercredi à son homologue français Emmanuel Macron que toute tentative d'interférence dans les affaires d'un pays souverain était «inacceptable», dans le cadre de leurs discussions sur le Bélarus, a déclaré le Kremlin.
En commentant la situation en Biélorussie dans un entretien avec le Journal du Dimanche, Emmanuel Macron a dénoncé une «crise de pouvoir» qui nécessite le départ d’Alexandre Loukachenko. Le Président français a également salué les manifestants qui défilent tous les week-ends.