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Le 30 avril, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a accusé Téhéran de dissimuler un programme nucléaire et a dit disposer des preuves le confirmant. Il a ainsi apporté son soutien à Donald Trump déterminé à «déchirer» l'accord nucléaire avec l'Iran malgré de nombreuses critiques.
Alors que le groupe français Total s’est retiré du projet iranien South Pars, la République islamique demande à l’Union européenne de prendre rapidement des mesures visant à préserver l’accord sur le nucléaire iranien dont les États-Unis sont sortis le 8 mai.
Un ancien chef du Mossad, Tamir Pardo, a récemment fait savoir qu’en 2011 le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avait ordonné aux militaires du pays de se préparer à frapper les structures nucléaires iraniennes, ce qui n’a pas toutefois créé de sensation, vu la situation de l’époque autour du programme nucléaire de Téhéran.
Le retrait des États-Unis de l’accord nucléaire iranien était planifié de longue date. Cette décision est le résultat d’un contrat de milliards et de milliards de dollars passé entre les Trump et l’Arabie saoudite, a expliqué à Sputnik Sharoj Habibi Habibi, fondateur de la société de conseil espagnole Ibero-Persia.
L’Union européenne a pris la décision de préserver l’accord nucléaire avec l’Iran et de protéger ses entreprises, a déclaré Emmanuel Macron lors d’une conférence de presse à Sofia, en Bulgarie, en marge du sommet Union européenne-Balkans occidentaux.
La proposition de l’Iran de mettre en place une banque de transaction en Europe pour contourner les sanctions américaines mérite d’être examinée, a déclaré à Sputnik une parlementaire française, membre de la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale.
Les États-Unis pourraient imposer des sanctions aux entreprises européennes si elles poursuivent leurs activités commerciales avec l’Iran, d’après le conseiller de Donald Trump à la sécurité, John Bolton.
Washington est prêt à discuter avec l’Europe en vue de signer un autre accord sur le dossier nucléaire iranien, d’après le secrétaire d’État américain Mike Pompeo.
Deux jours après l’annonce de Donald Trump sur le retrait des États-Unis de l’accord nucléaire avec l’Iran, le département américain du Trésor a introduit de nouvelles sanctions à l’encontre de ce pays.
Le Premier ministre israélien accuse Téhéran de poursuivre son programme nucléaire. Les allégations de M.Netanyahu arrivent au moment où Washington envisage d’adopter de nouvelles sanctions contre l’Iran. Ce n’est pas une pure coïncidence, estime Otfried Nassauer, expert allemand en matière d'armes nucléaires.
Les informations selon lesquelles le territoire azerbaïdjanais aurait été utilisé par les services secrets israéliens pour faire sortir les archives nucléaires iraniennes ont été qualifiées de «fake» par le porte-parole du ministère azerbaïdjanais des Affaires étrangères.
La Russie pourrait commencer à livrer à l'Iran tout ce que bon lui semble si les États-Unis finissent par sortir du Plan d'action global conjoint sur le nucléaire iranien signé en 2015.
Le chef de la diplomatie russe a invité Israël à transférer à l'AIEA les preuves attestant que la République islamique cherchait toujours à se doter d'une arme nucléaire.
Les informations divulguées le 30 avril par Benjamin Netanyahu au sujet du programme nucléaire iranien n’ont aucune valeur en elles, mais jouent la carte de Washington qui cherche à annuler l’accord nucléaire avec l’Iran. Les USA chercheront à en profiter pour faire changer l’Europe d’attitude sur cette question.
La réaction de certains hommes politiques américains face aux propos de Benjamin Netanyahu accusant Téhéran d’avoir dissimulé un programme nucléaire laisse croire qu’ils ont déjà eu le temps d’examiner les 100.000 documents. Ni à Moscou, ni à l’AIEA, ne tireront pas de conclusions hâtives, souligne un haut diplomate russe.
Floue, alambiquée, embarrassée… les qualificatifs ne manquent pas à propos de la position de la France sur le dossier du nucléaire iranien. Si Macron a une nouvelle fois réaffirmé que tous devraient appliquer l’accord de 2015, l’intransigeance américaine et la géopolitique du Moyen-Orient affaiblissent la position française et européenne. Analyse.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a accusé Téhéran de dissimuler un programme nucléaire et a dit disposer des preuves le confirmant. Il a ainsi apporté son soutien à Donald Trump déterminé à «déchirer» l’accord avec l’Iran malgré de nombreuses critiques.
Moscou estime indispensable de rester fidèle au Plan d'action global commun concernant le programme nucléaire iranien et ne voit «aucune alternative» à ce document, a déclaré le porte-parole du Président russe, Dmitri Peskov.
Lors de la conférence de presse d'Emmanuel Macron et de Donald Trump qui se tient actuellement à Washington, le Président américain a déclaré qu'il voulait un nouvel accord sur le nucléaire iranien avec des fondations «solides».
Le Président américain a à plusieurs reprises critiqué l’accord de Vienne sur le nucléaire iranien, plus connu sous le nom de plan d'action conjoint, le qualifiant du «probablement pire accord de l'histoire des États-Unis» et a menacé d’en retirer Washington s’il n'était pas révisé.
Téhéran a mis en garde contre la tentative de Washington de se retirer de l'accord sur le nucléaire iranien. Selon le ministre iranien des Affaires étrangères, si les USA enterrent l'accord, l’Iran reprendra la production d'uranium enrichi, élément clé dans la fabrication de l'arme atomique.