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Les Etats-Unis, l'Union européenne et leurs partenaires ne reconnaissent pas l'adhésion de la Crimée à la Fédération de Russie et ont adopté des sanctions contre Moscou et plusieurs sociétés publiques et privées russes.
À ce jour, en raison des sanctions de l’UE, la Crimée s’est retrouvée isolée sur la scène internationale, l’Europe violant ainsi le droit des peuples à l’autodétermination et même les droits civiques les plus élémentaires des habitants de cette péninsule russe, ont indiqué dans un entretien accordé à Sputnik deux hommes politiques italiens.
Les États-Unis ont introduit de nouvelles sanctions antirusses, qui viennent s'ajouter à celles que les Russes acceptaient déjà depuis quatre ans comme une «réalité sévère de la vie». Néanmoins, cette fois, «le pays y est prêt plus que jamais», estime le Christian Science Monitor.
Moscou peut se retirer de l’OMC si l’action intentée par l’UE contre la Russie pour une somme de 1,39 milliard d’euros par an du fait des restrictions d’importations de viande porcine est satisfaite, a dit à Sputnik Sergueï Kalachnikov, premier chef adjoint de la commission économique du Conseil de la Fédération (chambre haute du parlement russe).
L’Organisation mondiale du Commerce (OMC) est malheureusement incapable de garantir les droits des pays membres dans le contexte d’élargissement des sanctions introduites notamment par les États-Unis, le Canada, l’Australie et l’Union européenne contre la Russie, a déclaré à Sputnik le parlementaire russe Sergueï Gavrilov.
Le Service fédéral russe de surveillance vétérinaire a annoncé qu’il lèverait l’interdiction pour motifs sanitaires d’importer des porcs vicants et des productions porcines en provenance des pays de l’Union européenne. Elle avait été décrétée à cause d’une épidémie de peste porcine africaine. Les conditions de l’embargo, elles, restent en vigueur.
Selon les experts, les sanctions antirusses adoptées en 2013 n’ont pas eu les résultats escomptés.
Le vice-Premier ministre russe Dmitri Rogozine a donné son sentiment sur les sanctions prises par les pays occidentaux contre les entreprises industrielles russes. L’homme politique les a comparées à une «guerre technologique», relate la chaîne Rossiya-24.
Le référendum sur le statut de la Crimée était parfaitement légitime. Par conséquent, les sanctions introduites à l’égard de la Russie sont intolérables, a déclaré Mitsuhiro Kimura, dirigeant du parti japonais Issuikai.
L’Occident, par ses sanctions, a finalement accéléré un processus qui a bénéficié à Moscou: l’économie russe a gagné en attractivité, en diversité et en dynamisme. Raison pour laquelle de nombreux pays se tournent désormais vers la Russie, sonnant le glas de certaines positions hégémoniques des USA.
Les nouvelles sanctions influenceront non seulement les économies russe et des pays européens, mais aussi la sphère politique, a déclaré à Sputnik le président du conseil d'administration de la Chambre du commerce extérieur germano-russe Matthias Schepp. En cela, il ne faut pas s'attendre à ce que Moscou suive la route choisie par l'Occident.
Le Sénat US a récemment voté pour le durcissement des sanctions contre la Russie. Selon le vice-président de la Commission européenne chargé du l'Union énergétique, Washington ne s’est pas mis d’accord avec l’UE à propos de cette décision.
La chancelière allemande Angela Merkel partage les préoccupations de ses collègues concernant le projet de nouvelles sanctions américaines visant le secteur énergétique russe.
Les sénateurs américains ont voté pour un projet de loi sanctionnant l’Iran pour son programme balistique et prévoyant l’élargissement des sanctions contre la Russie.
Le Sénat américain n’a pas l’intention d’introduire de nouvelles sanctions à l’encontre de la Russie. Mais les législateurs ont prévu de nouvelles surprises tout aussi peu favorables pour Moscou.
Malgré les sanctions économiques imposées par l’Occident, la Russie est en train de connaître un essor de son agriculture et de son développement rural, estime le journaliste britannique, Neil Buckley.
Loin de pousser au bord du gouffre le célèbre fabricant d'armes russes Kalachnikov, les sanctions occidentales ont donné un nouvel élan au développement de la compagnie qui a réussi à diversifier son marché et à mettre en place une nouvelle stratégie marketing.
Les sanctions introduites par l’UE à l’encontre de la Russie ont nui aux pays européens sans déboucher sur aucun résultat réel, constate le chef de la diplomatie hongroise dans un commentaire à Sputnik. La levée de ces mesures restrictives dépendra principalement des relations que parviendront à établir Moscou et la nouvelle administration US.
Les sanctions antirusses nuisent à la population européenne. Le temps est venu de procéder à leur levée, a déclaré la vice-présidente bulgare, soulignant que cet avis était partagé par plusieurs pays membres de l'UE.
Selon le premier ministre slovaque, l’Union européenne doit adopter une position plus indépendante sur la question sensible des sanctions contre Moscou, sanctions qu’il considère inutiles.
Le président bulgare Roumen Radev a exprimé ses craintes quant à la reprise du dialogue entre la Russie et les États-Unis, qui pourrait laisser l’Europe otage de la guerre des sanctions.