Pour améliorer le fonctionnement de notre site, accroître la pertinence des contenus informationnels et optimiser le ciblage publicitaire, nous collectons des informations techniques anonymisées sur vous, notamment à l’aide d’outils de nos partenaires. Le processus de traitement des données personnelles est décrit en détail dans la Politique de confidentialité. Les technologies que nous mettons en œuvre pour ce faire sont décrites en détail dans la Politique d’utilisation des cookies et d’enregistrement automatique.
En cliquant sur "Accepter et fermer", vous acceptez que vos données personnelles soient utilisées dans les buts décrits ci-dessus.
Vous pourrez revenir sur votre choix et retirer votre consentement en utilisant n’importe quel autre moyen indiqué dans la Politique de confidentialité.
L'ancien Président français Nicolas Sarkozy a été condamné le 1er mars 2021 à trois ans de prison dont un an ferme pour corruption et trafic d'influence dans l'affaire dite des «écoutes», une décision dont il va faire appel.
L’ex-Premier ministre Édouard Philippe a écrit quelques mots amicaux de soutien à Nicolas Sarkozy, condamné dans l’affaire dite des écoutes, rapporte Paris Match. Selon les informations du magazine, l’ancien Président a également reçu un coup de fil de la part d’Emmanuel Macron.
Pour le chef de file de LFI, l’actuel dirigeant français a consolidé sa position de «chef de la droite» grâce à la condamnation de Nicolas Sarkozy à trois ans de prison, dont un ferme.
Nicolas Sarkozy, condamné à trois ans de prison dont un ferme pour corruption, a promis sur TF1 de «se battre jusqu’au bout», insistant sur le fait qu’en sept ans d’enquête, sa culpabilité n’avait pas été démontrée et qu’on le jugeait «pour une intention».
Un conseiller élyséen, cité par Le Canard enchaîné, a livré la réaction d’Emmanuel Macron au verdict annoncé le 1er mars. «Il a trouvé que la peine infligée à Sarkozy était d'une sévérité sans égale», aurait dit le Président.
Un édito du Parisien qui fustige «des décisions de justice», concernant les politiques, qui deviennent «d'une sévérité accrue ou d'une intransigeance implacable», a créé polémique au sein de la rédaction.
Dans un entretien accordé au Figaro, l’ex-Président Nicolas Sarkozy, condamné pour corruption, a annoncé qu'il pourrait saisir la CEDH, ne pouvant «accepter d’avoir été condamné pour ce qu['il n'a] pas fait».
Le verdict prononcé contre Nicolas Sarkozy trahit-il une volonté de neutraliser politiquement l’ancien Président? En tout cas, cette condamnation inquiète la communauté juridique, tant elle fait peser de menaces sur le secret professionnel. Avocat au barreau de Paris, Frédéric Bélot nous livre son analyse.
Nicolas Sarkozy a été condamné à trois ans de prison, dont deux avec sursis, lundi 1er mars. Après l’affaire «des écoutes», d’autres sont à prévoir comme l’affaire Bygmalion. Pour l’avocat Régis de Castelnau, ce sont autant d’exemples de «raids judiciaires» menés par une justice politique.
Alors que l’ex-Président Nicolas Sarkozy s’est vu condamner le 1er mars pour corruption à de la prison ferme, Marine Le Pen a estimé qu’il pouvait toujours se porter candidat s’il le souhaitait et que la justice ne devait pas «faire la primaire» de la présidentielle.
Des propos tenus par Nicolas Sarkozy semblent le rattraper cinq ans plus tard. Dans l’affaire «des écoutes», l’ancien Président a été condamné à trois ans de prison, dont un an ferme, une peine aménageable à domicile. Une mesure qui n’était pourtant pas de son goût encore en 2015.
Affirmant que Nicolas Sarkozy a été «un grand Président de la République», Gérald Darmanin lui a apporté son «soutien amical». Cette déclaration a suscité l’indignation de certains politiques.
Nicolas Sarkozy a été condamné dans l’affaire «des écoutes» ce lundi 1er mars. Trois ans de prison dont deux avec sursis. L’ancien Président écope donc d’un an de prison ferme. Une peine aménageable. L’avocat Georges Sauveur déplore que la justice ait avalisé le principe «la fin justifie les moyens».
L'avocate de l'ex-Président français Nicolas Sarkozy, reconnu coupable de corruption et condamné à trois ans de prison, dont un an ferme, a annoncé qu'il fera appel de cette décision.
L’ex-Première dame a exprimé son soutien à son mari qui vient d’être condamné à de la prison ferme dans l’affaire dite des écoutes. «La vérité fera jour», insiste Carla Bruni.