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Signé en 1987 à Washington par Ronald Reagan et Mikhaïl Gorbatchev, le Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI/INF) est entré en vigueur le 1er juin 1988, sans limitation de durée. Le traité concerne l'élimination de tous les missiles de croisière et missiles balistiques américains et soviétiques lancés depuis le sol et ayant une portée se situant entre 500 et 5.500 km. Il est le premier traité à avoir éliminé totalement une catégorie d'armement.
Le Président Poutine s’est déclaré prêt à renoncer au déploiement en Russie européenne de missiles sol-air 9M729, créés dans le cadre de la modernisation du système Iskander-M, sous réserve de mesures réciproques de la part de l’Otan, selon le service de presse du Kremlin.
Face au risque de reprise de la course aux armements suite à la rupture unilatérale par les États-Unis du Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI), la Russie s’applique à l’empêcher, invitant les partenaires à se joindre à ses efforts, a annoncé dimanche le chef de la diplomatie russe.
Poutine ordonne de préparer une «réponse symétrique» au test d'un nouveau missile américain
Les États-Unis ont testé un missile de croisière basé au sol interdit par le Traité sur les armes nucléaires à portée intermédiaire (FNI) dont Washington s’est retiré début août, a annoncé le Pentagone.
À en croire les récents propos de John Bolton, la Russie n’est pas le seul responsable de la sortie des États-Unis du Traité FNI. Selon le conseiller américain à la sécurité nationale, la Chine elle aussi représente une menace à la sécurité nationale avec ses «milliers de missiles» déployés.
Alors que les États-Unis aspirent à voir la Chine parmi les signataires de l’accord qui succédera au traité FNI, Moscou estime que les arsenaux d’autres pays, notamment ceux de la France et du Royaume-Uni, doivent être pris en considération.
Alors que les États-Unis doivent sortir le 2 août du Traité FNI, la porte-parole de la diplomatie russe souligne qu’ils entreprennent des démarches allant dans le sens contraire de celui qui mène vers le renforcement de la stabilité et de la sécurité dans le monde.
D’après Jens Stoltenberg, il existe pour sauver le Traité FNI un remède, qu’il a proposé à la Russie. La solution du secrétaire général de l’Otan consiste en l’élimination des missiles russes 9M729, dont la portée enfreint les termes du Traité FNI, selon Washington.
La disparition du Traité sur les missiles à portée intermédiaire placerait l’Europe au seuil d’une guerre nucléaire, puisque les pays où ces missiles peuvent être déployés et qui seront visés par de tels missiles sont tous en Europe, a expliqué à Sputnik Marc Finaud, spécialiste en prolifération au Centre de politique de sécurité de Genève.
Vladimir Poutine a signé une loi suspendant la participation de la Russie au Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire qui interdit la production et les essais de missiles terrestres d'une portée comprise entre 500 et 5.500 km.
Après le retrait unilatéral du Traité sur les Forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI), les États-Unis ont commencé la production de pièces destinées à des tests de missiles non nucléaires interdits par ce document, a annoncé une porte-parole du Pentagone.
Le département de la Défense des États-Unis a l'intention de tester un missile de croisière sol-sol d'une portée d'environ 1.000 km, comme l'ont rapporté jeudi des médias internationaux.
Suite à la suspension par la Russie de sa participation au Traité FNI, que Washington avait cessé de respecter en février, Moscou ne déploiera pas de missiles à courte et moyenne portée en Europe tant que les États-Unis ne le feront pas, indique un responsable russe.
Le Président russe a signé ce lundi le décret en vue de suspendre le Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI), vient d'annoncer le Kremlin.
S'exprimant mercredi 20 février devant l'Assemblée fédérale, Vladimir Poutine a parlé des mesures que la Russie serait contrainte de prendre après le retrait unilatéral des États-Unis du Traité FNI, ce qui a été abondamment discuté à l'Otan. Un politologue serbe a commenté pour Sputnik cette vive réaction de l’Alliance.
La vie des Européens risque d’être dorénavant plus dangereuse à cause du retrait unilatéral des États-Unis du Traité FNI, selon le chef de la délégation russe à l’Assemblée parlementaire de l’OSCE. Il a également indiqué que le déploiement de missiles en Europe aggravait les relations avec la Russie dans le domaine de la sécurité.
Qualifiant de «menaces» les propos de Vladimir Poutine concernant la situation qui s'est nouée autour du Traité FNI, le porte-parole adjoint de l'Otan Piers Cazalet a déclaré à Sputnik que l'Alliance était en mesure de donner à la Russie une réponse «unie et mesurée».
L'élue démocrate Tulsi Gabbard a soumis un projet de loi au Congrès américain interdisant à Washington de se retirer du Traité sur les armes nucléaires à portée intermédiaire (FNI).
Le ministère russe des Affaires étrangères a déclaré ce mardi que les accusations de Washington à l’encontre de Moscou sur la violation du Traité FNI étaient dénuées de preuves. En outre, le missile russe 9M729, pierre d'achoppement dans les relations entre les deux pays, n’a jamais été testé à une portée interdite, selon Moscou.
La sortie des États-Unis du Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI) s’explique par leur volonté d’utiliser tout l’ensemble de leurs outils militaires pour exercer des pressions sur leurs adversaires, a annoncé le ministère russe des Affaires étrangères.