Dans un message publié sur son compte Twitter, Emmanuel Macron a rendu hommage au chanteur algérien originaire de Kabylie, Idir (qui signifie «vivant», en français), qui s’est éteint samedi 2 avril à Paris à l’âge de 70 ans. Le Président de la République a évoqué un promoteur «de la fraternité des peuples».
Une voix unique s’est éteinte. Idir chantait ses racines kabyles avec la mélancolie d’un exilé et la fraternité des peuples avec les espoirs d’un humaniste. La poésie de ses chansons continuera longtemps de résonner d’une rive à l’autre de la Méditerranée.
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) May 3, 2020
«Une voix unique s’est éteinte. Idir chantait ses racines kabyles avec la mélancolie d’un exilé et la fraternité des peuples avec les espoirs d’un humaniste. La poésie de ses chansons continuera longtemps de résonner d’une rive à l’autre de la Méditerranée», a écrit Emmanuel Macron qui a été le premier chef d’État à rendre hommage à cette icône universelle de la chanson berbère.
De son côté, le Président algérien Abdelmadjid Tebboune a regretté «la perte d’une sommité de l’art algérien de stature internationale».
ببالغ الحزن والأسى تلقيت نبأ وفاة المرحوم حميد شريت المدعو فنيًا إيدير، أيقونة الفن الجزائري و صاحب السمعة العالمية. بهذا المصاب تفقد الجزائر هرما من أهراماتها. رحمه الله وأدخله فسيح جناته وألهم ذويه و محبيه جميل الصبر والسلوان إنا لله وإنا إليه راجعون.
— عبدالمجيد تبون - Abdelmadjid Tebboune (@TebbouneAmadjid) May 3, 2020
En cliquant sur "Publier", vous acceptez que les données personnelles de votre compte Facebook soient utilisées pour vous donner la possibilité de commenter les contenus publiés sur notre site à partir de votre compte. Le processus de traitement des données personnelles est décrit en détail dans la Politique de confidentialité.
Vous pourrez revenir sur votre choix et retirer votre consentement en effaçant tous vos commentaires.
Tous les commentaires
Afficher les nouveaux commentaires (0)
en réponse à(Afficher le commentaireCacher le commentaire)