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L’«accord du siècle», ce plan de paix américain censé résoudre le conflit entre Israël et la Palestine a été présenté par Donald Trump le 28 janvier 2020.
Le plan prévoit la création d’un État de Palestine et sa démilitarisation. Le projet assure que Jérusalem restera «la capitale indivisible d'Israël», tandis que la capitale du futur État palestinien se situerait à Abu Dis, banlieue orientale de Jérusalem. Avec l’«accord du siècle», le territoire contrôlé par les Palestiniens double par rapport à la superficie actuelle.
Le plan a provoqué des réactions dans le monde entier. Et le Président palestinien Mahmoud Abbas affirme que le plan ne «passera pas».
La France a salué « les efforts du Président Trump et étudiera avec attention le plan de paix qu'il a présenté».
Pour Moscou, la position de la partie palestinienne doit être prise en considération lors des discussions sur le document.
Les États-Unis et Israël vont se heurter à des difficultés extrêmes dans leurs tentatives de réaliser l’«accord du siècle», car les Palestiniens le rejettent et iront jusqu’au bout contre ce plan de Donald Trump, a déclaré Nabil Chaath, conseiller du Président palestinien Mahmoud Abbas, dans un entretien accordé en exclusivité à Sputnik.
Le chef de la diplomatie russe a dénoncé des «concessions à sens unique en faveur d’Israël», fustigeant le plan de règlement du conflit israélo-palestinien annoncé fin janvier par Donald Trump.
Le roi Mohammed VI a envoyé un message verbal au Président palestinien Mahmoud Abbas, lui réaffirmant le soutien du Maroc à la cause palestinienne, a déclaré le ministre marocain des Affaires étrangères.
Dévoilé fin janvier, le plan de paix au Proche-Orient proposé par le gouvernement Trump, continue d’alimenter les polémiques. Ce mercredi 5 février, le président iranien Hassan Rohani a violemment critiqué l’initiative américaine.
Le guide suprême de la Révolution islamique Ali Khamenei estime que l’«accord du siècle» américain sur le règlement israélo-palestinien mourra avant Donald Trump.
Donald Trump a dévoilé fin janvier son plan censé résoudre le conflit entre Israël et la Palestine. «Ma vision présente [...] une solution réaliste pour les deux États», a lancé Trump, donnant des garanties inédites à Benyamin Netanyahou qui a salué «une journée historique».
La Palestine n’a pas eu de contacts avec les États-Unis après l’annonce par Donald Trump de l’«accord du siècle» sur le règlement du conflit proche-oriental, selon l’ambassadeur de Palestine à Moscou, Abdel Hafiz Nofal.
La résolution du conflit libyen et la lutte antiterroriste au Maghreb et au Sahel, ainsi le conflit israélo-palestinien dans le contexte de l’«Accord du siècle» avancé par l’administration américaine, font l’objet d’une «totale et absolue» convergence de positions entre Alger et Tunis, a affirmé le chef de l’État algérien.
À l’issue d’une réunion extraordinaire samedi 1er février, la Ligue arabe a rejeté l’«accord du siècle», proposé auparavant par Donald Trump pour régler le conflit palestino-israélien, en le qualifiant d’«injuste» envers le peuple palestinien dans une déclaration dont Sputnik a obtenu copie.
S’exprimant lors d'une réunion de la Ligue arabe, le Président palestinien Mahmoud Abbas a dénoncé l'Accord du siècle proposé par Washington pour le règlement du conflit israélo-palestinien et a déclaré que la Palestine avait informé Tel Aviv et Washington qu’elle rompait tous ses liens avec eux.
Depuis l’annonce du plan de paix de Donald Trump, un silence assourdissant résonne au Moyen-Orient. À quelques exceptions près, très peu de pays font entendre leur désaccord avec ce deal, que tous jugent défavorable aux Palestiniens. Pourquoi? Sputnik France a posé la question à Christian Chesnot, journaliste spécialiste du Moyen-Orient.
Le plan de Donald Trump visant à contribuer au règlement du conflit israélo-palestinien a été renommé «stratagème du siècle» par un conseiller du guide suprême de la Révolution islamique. Il a précisé que le Président des États-Unis «vis[ait] en fait à diviser les pays islamiques» avec ce projet.
Une solution cruciale en ce qui concerne le règlement équitable et durable du conflit au Proche-Orient doit appartenir aux Palestiniens et aux Israéliens, a déclaré Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, en commentant le fameux «accord du siècle» proposé par le Président des États-Unis.
En visite à Moscou, Benyamin Netanyahou a présenté à Vladimir Poutine l’«accord du siècle» proposé par Donald Trump pour mettre fin au conflit palestinien. Les deux dirigeants -russe et israélien- en ont discuté en détail, a confié à Sputnik une source au sein de la délégation israélienne.
Alger et Tunis se sont accordés à rejeter le «plan de paix» américain qualifié d’«accord du siècle» par Trump, affirmant leur soutien à «l'établissement d'un État indépendant et souverain avec Al-Qods-Est [Jérusalem-Est, ndlr] comme capitale». Rabat a de son côté salué «des efforts constructifs» mais refuse le changement du statut de Jérusalem-Est.
L’accord de paix au Moyen-Orient a été présenté en grande pompe après trois ans de suspense. Qualifié de «deal du siècle» par Donald Trump, est-il pour autant réaliste? Comment est-il perçu du côté palestinien? Et du côté israélien? Sputnik France a posé ces questions à l’historien Gil Mihaely.
Annoncé par Donald Trump, le «plan de paix» pour le Proche-Orient censé régler le conflit israélo-palestinien n’a laissé personne indifférent, suscitant de nombreuses réactions. Khaled Al-Assili, ministre palestinien de l'Économie, a donné son avis sur cet «accord du siècle» dans un entretien exclusif pour Sputnik.
Longtemps attendu, le «plan de paix» également connu sous le nom d’«accord du siècle» et censé résoudre le conflit israélo-palestinien a été annoncé par le Président des États-Unis, suscitant de multiples réactions de la communauté internationale. Sputnik s’est entretenu avec un ancien ministre de l’Autorité palestinienne.
Le Président turc a critiqué le plan de paix pour le Proche-Orient, proposé par Donald Trump, qui prévoit la création d'un État palestinien et sa coexistence avec Israël. Selon Recep Tayyip Erdogan, ce plan vise à «légitimer l'occupation israélienne».
Le ministère français des Affaires étrangères a salué «les efforts du Président Trump» pour son plan de paix entre Israël et la Palestine, le Quai d’Orsay jugeant nécessaire «une solution à deux États».