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Le 4 avril 2017, une frappe aérienne sur la ville de Khan Cheikhoun dans la province d'Idlib, en Syrie, a été suivie par l'intoxication aux produits chimiques de nombreux habitants. Des sources locales proches de l'opposition font état de 80 morts et de 200 blessés et en imputent la responsabilité aux forces gouvernementales syriennes. Damas rejette ces accusations et explique que le bombardement aérien sur Khan Cheikhoun a touché un entrepôt d'armes chimiques appartenant à des groupes terroristes et dont les agents actifs ont contaminé la population.
Le mandat du Mécanisme d'enquête international en Syrie ne pourra être relancé qu'en cas de la prise en compte des propositions russes, a déclaré à Sputnik Mikhaïl Oulianov, directeur du Département de la non-prolifération et du contrôle des armements du ministère russe des Affaires étrangères.
En jouant leur «spectacle» sur le prolongement du mandat des experts chargés d’enquêter sur les attaques chimiques en Syrie, les alliés de Washington souhaitent exclure la Russie du règlement politique dans ce pays, estime l’ambassadeur russe à l’Onu.
Moscou a bloqué le projet de résolution du Conseil de sécurité de l'Onu proposé par les Etats-Unis et visant à prolonger le mandat de la mission d'enquête OIAC-Onu sur les attaques chimiques en Syrie.
Le Mécanisme conjoint d’enquête (JIM) sur les attaques chimiques en Syrie utilise des moyens violant la Convention sur l’interdiction des armes chimiques, selon le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov. Moscou ne peut pas accepter le projet de résolution US qui propose de prolonger le mandat du JIM sans rien changer.
Le ministère russe des Affaires étrangères a appelé à examiner sérieusement les conclusions objectives des experts russes sur l’attaque chimique dans la ville syrienne de Khan Cheikhoun, survenue en avril dernier.
«C’est une vieille résolution (…) Tout ce que les Américains ont fait avec leur texte original est de le retoucher (…), mais le contenu ne change en rien», a déclaré le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov, commentant le projet de résolution US sur la mission d'enquête internationale sur les armes chimiques en Syrie.
Les États-Unis et la Russie se déchirent autour du rapport de la commission d’enquête de l’ONU sur l’attaque chimique de Khan Cheikhoun. Si Washington appuie ce rapport et Moscou le critique, c’est aussi l’expression d’une lutte d’influence au sein du CS, explique à Sputnik le général Trinquand, ancien chef de la mission française auprès de l’ONU.
Moscou soumet au Conseil de sécurité de l’Onu un projet de résolution pour renouveler la mission d'enquête internationale sur les armes chimiques en Syrie. Celui-ci entre toutefois en conflit avec un projet de résolution des États-Unis, qui accusent Damas d’avoir utilisé du sarin à Khan Cheikhoun.
En Syrie, les groupes armés illégaux pourraient fabriquer des mines artisanales en faisant fondre des pièces détachées d’automobiles, des éléments de plomberie et de canalisations d'eau dans de petits ateliers pratiquement dans chaque ville syrienne, estime l’ingénieur militaire de l’armée syrienne, Nazir Saidi.
La munition «chimique» montrée sur les photos du dernier rapport de la mission conjointe de l’ OIAC et de l’Onu concernant l’enquête sur l’utilisation d’armes chimiques à Khan Cheikhoun, est de fabrication artisanale et pourrait être faite à partir d’un tuyau, selon le ministère russe de la Défense.
Il n'est pas possible qu'un appareil de l’aviation syrienne ait pu être à l’origine de l'attaque chimique à Khan Cheikhoun car il n’était pas assez proche pour pouvoir attaquer, annonce le ministère russe de la Défense.
L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) porte atteinte aux droits de la Syrie d'avoir accès aux échantillons en provenance de Khan Cheikhoun, indique le ministère russe des Affaires étrangères.
La Russie penche sur le fait que l’incident chimique du 4 avril à Khan Cheikhoun puisse être une mise en scène, a déclaré le directeur du Département sur la non-prolifération et le contrôle des armes du ministère russe des Affaires étrangères, Mikhaïl Oulianov.
Il n’existe pas de preuves tangibles d’utilisation d’armes chimiques par Damas et toutes les accusations à ce sujet sont sans fondement, a indiqué à Sputnik le chef adjoint de la Commission d’État sur le désarmement chimique russe, Gueorgui Kalamanov.
La Russie dispose de preuves irréfutables que les terroristes ont fait exploser une bombe au gaz sarin à Khan Cheikhoun en avril dernier, estime le ministère russes des Affaires étrangères.
La Russie appelle le Conseil de sécurité de l’Onu à vérifier les allégations du ministère syrien des Affaires étrangères selon lesquelles Washington et Londres auraient livré des substances toxiques aux djihadistes qui avaient pris leurs quartiers en Syrie.
Près de six mois après l’attaque chimique à Khan Cheikhoun, Damas ne cesse de dénoncer le bombardement américain contre sa base militaire, réalisé avant même le début de l’enquête, et se dit prêt à prêter main forte à la commission destinée à mettre les faits en lumière.
Le ministère russe des Affaires étrangères estime qu’il est trop tôt pour clore l'enquête sur des conséquences chimiques du raid aérien dans la province syrienne d’Idlib. Jusqu’à présent, aucun expert n’a encore visité le lieu de la tragédie.
La diplomatie syrienne a annoncé aujourd’hui qu’elle avait reçu, de facto, un refus de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) d’envoyer ses experts en Syrie pour enquêter sur l’incident chimique dans la ville de Khan Cheikhoun.
Washington s’est opposé à l’initiative de Damas visant à envoyer un groupe de spécialistes dans la ville syrienne de Khan Cheikhoun pour enquêter sur l’utilisation présumée de gaz sarin.