Pour améliorer le fonctionnement de notre site, accroître la pertinence des contenus informationnels et optimiser le ciblage publicitaire, nous collectons des informations techniques anonymisées sur vous, notamment à l’aide d’outils de nos partenaires. Le processus de traitement des données personnelles est décrit en détail dans la Politique de confidentialité. Les technologies que nous mettons en œuvre pour ce faire sont décrites en détail dans la Politique d’utilisation des cookies et d’enregistrement automatique.
En cliquant sur "Accepter et fermer", vous acceptez que vos données personnelles soient utilisées dans les buts décrits ci-dessus.
Vous pourrez revenir sur votre choix et retirer votre consentement en utilisant n’importe quel autre moyen indiqué dans la Politique de confidentialité.
Plusieurs fusillades et attentats-suicides quasi simultanés ont visé six points de Paris et sa proche banlieue le 13 novembre 2015. Trois kamikazes ont notamment actionné leurs charges explosives près du Stade de France, à Saint-Denis. L’attaque la plus meurtrière a frappé la salle de concert du Bataclan, où les terroristes ont tiré à bout portant sur la foule. Les attentats ont fait au moins 129 morts et 350 blessés. Le président Hollande a décrété l'état d'urgence.
Cet homme a confectionné plus de 300 kg d’explosifs pour frapper l’Europe: l’artificier des attentats perpétrés dans les capitales française et belge au cours des années 2015 et 2016 a été identifié. Il s’agit d’un Syrien arrivé en Europe en septembre 2015 avec une vague de migrants.
L’entreprise Twitter fait objet d’une action en justice initiée par des proches des victimes des attaques terroristes ayant frappé en 2015 et 2016 les capitales française et belge. La partie requérante juge que la compagnie a offert aux terroristes un puissant moyen de communication.
Il se trouve toujours parmi nous des gens capables de profiter des tragédies, partant du principe que «chacun gagne sa vie comme il le peut». Une jeune femme a ainsi été condamnée à un an de prison ferme après s'être fait passer pour une victime des attentats du 13 novembre 2015.
Un an après l’assaut des forces de l’ordre contre trois terroristes, dont l’organisateur présumés des attentats du 13 novembre Abdelhamid Abaaoud, les victimes ne sont toujours pas reconnues comme telles par l’État français.
Suivant l’ordre chronologique des attaques, le président de la République, François Hollande, a dévoilé des plaques commémoratives en hommage aux victimes en partant du Stade de France.
Il y a un an, suite aux attentats du 13 novembre à Paris, l’état d’urgence a été décrété en France. Il est toujours en vigueur et est considéré comme à la fois «nécessaire, inutile, liberticide et insuffisant». Un directeur de recherche à l’IRIS fait part à Sputnik de ses considérations sur le problème.
«Il y a un avant et un après», selon Daniel Psenny, journaliste au Monde, car c’est la peur qui a remplacé l’absence de problèmes en France.
Presqu’un an après les attentats du 13 novembre, le pays oscille entre souvenirs et crainte dans un contexte pré-électoral toujours flou.
Un djihadiste belgo-marocain, Oussama Atar, est considéré par les enquêteurs comme l'un des coordinateurs depuis la Syrie des attentats de Paris et Bruxelles, a-t-on appris mardi de sources proches de l'enquête.
Le Centre d'analyse du terrorisme (CAT) a décortiqué les coûts et les modes de financements des attentats terroristes commis en France en 2015-2016.
Les islamistes qui ont organisé les attentats meurtriers à Paris et à Bruxelles avaient une base à Athènes, lit-on dans les documents du tribunal bruxellois concernant la cellule terroriste de Verviers.
Bien avant que les différents commandos ne viennent semer la terreur dans les rues de la capitale française et au Stade de France, la police belge aurait pu par au moins 13 fois démasquer les auteurs des attentats du 13 novembre à Paris, annonce le quotidien belge néerlandophone De Tijd.
Des médias européens, se basant sur les informations de diverses sources, craignent de nouveaux attentats.
Deux hommes arrêtés en Autriche dans un centre de réfugiés, soupçonnés d'avoir voulu participer aux attentats du 13 novembre en France, ont été mis en examen vendredi à Paris et écroués.
Soupçonné d’être le dernier terroriste de la tragédie du 13 novembre 2015 toujours en vie, Salah Abdeslam, qui est incarcéré dans la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne), a porté plainte contre Thierry Solère, député Les Républicains, pour atteinte à la vie privée.
François Hollande a confirmé jeudi, lors de l'interview du 14 juillet, que l'état d'urgence, déclenché après les attentats du 13 novembre, ne serait pas prolongé au-delà du 26 juillet.
Judicial Watch, une organisation dédiée à la surveillance des activités du gouvernement américain, a déclaré que l'une des armes utilisées dans les attentats de Paris avait été achetée à Phoenix (Arizona), dans le cadre d'une opération menée par l'Agence fédérale sur l'alcool, le tabac et les armes (ATF). Cette opération a ensuite échoué.
Le père d'une victime des attentats de Paris a entamé des poursuites contre Twitter, Google et Facebook, les accusant d'aider Daech à promouvoir l'extrémisme et à recruter de nouveaux combattants sur la Toile.
Le fondateur du site WikiLeaks, Julian Assange considère que les mesures de lutte antiterroriste entreprises par la France à la suite des attentants de 2015 sont contraires à la démocratie et seront lourdes de conséquences négatives pour le pays.
Donné pour mort depuis neuf mois, le tristement célèbre recruteur de djihadistes français Omar Diaby, dit Omar Omsen, est revenu d'entre les morts. Ce franco-sénégalais a lui-même contacté France 2 pour parler de son retour de Syrie, pour s'exprimer sur Daech et sur les attentats ayant frappé la France et pour évoquer... Marine Le Pen.