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Le Royaume-Uni doit quitter l'Union européenne le 29 mars 2019, mais le Brexit peut être remis à plus tard. En janvier et mars 2019, la Chambre des communes britannique a rejeté l'accord sur le retrait de l'UE négocié pendant des mois entre Theresa May et Bruxelles. Si ce texte n'est pas ratifié en mars, la date du Brexit sera repoussée ou le Royaume-Uni sortira de l'UE sans accord.
Les députés britanniques de la Chambre des communes ont donné jeudi 9 janvier, lors d'un vote historique après trois ans et demi de crise, leur approbation finale au texte qui permettra au Royaume-Uni de quitter l'Union européenne le 31 janvier.
Selon le groupe de réflexion Resolution Foundation, les dépenses publiques au Royaume-Uni vont monter en flèche, quel que soit le résultat des élections générales anticipées de décembre. Les conservateurs et les travaillistes s’engagent à augmenter le financement des programmes sociaux. Un analyste britannique expose son point de vue à Sputnik.
La France est prête à un report «technique» du Brexit de «quelques jours» afin que la procédure parlementaire puisse s'achever à Londres, mais s'opposera à une prolongation destinée à «rediscuter de l'accord», a déclaré mardi la secrétaire d'État française aux Affaires européennes citée par l’AFP.
Les députés britanniques ont voté contre le programme proposé par le gouvernement sur le Brexit ce 22 octobre. La loi devait être examinée et approuvée en trois jours, alors que le Royaume-Uni devait quitter l’Union européenne avant le 31 octobre.
«Des conséquences négatives pour des millions de gens» ont été évoquées par la secrétaire d’État aux Affaires européennes et responsable du dossier du Brexit, qui s’est exprimée pour le Journal du dimanche sur le report du Brexit voté par les députés britanniques le 19 octobre.
«Nous déclenchons l’opération du gouvernement Yellowhammer» prévue en cas de Brexit dur, a annoncé à Sky News Michael Gove, chancelier du duché de Lancastre qui se charge des préparatifs d’une sortie sans accord.
«Un délai supplémentaire n'est dans l'intérêt de personne», selon Emmanuel Macron qui l’a indiqué à Boris Johnson, lors d’un entretien avec le Premier ministre britannique dans l’après-midi le 19 octobre dans le but d’obtenir une clarification sur ce en quoi consiste la position du Royaume-Uni concernant le Brexit, affirme l’Élysée cité par l’AFP.
Les députés britanniques ont approuvé ce 19 octobre un amendement qui reporte leur décision sur l'accord de Brexit conclu entre Londres et Bruxelles. Le Premier ministre Boris Johnson a toutefois déclaré que le pays quitterait l’UE le 31 octobre.
L’économie britannique a perdu près de 60 milliards de livres sterling depuis le référendum sur l’Union européenne de 2016, rapporte une étude réalisée par l’Institute for Fiscal Studies (IFS).
Boris Johnson a présenté ses excuses à la reine Elizabeth II pour l’avoir dérangée par sa demande d’approuver la suspension du Parlement pour cinq semaines, indique le Sunday Times. Après le jugement rendu par la Cour suprême le 24 septembre, l’institution a repris ses séances.
La Cour suprême britannique a jugé ce mardi 24 septembre «illégale» la décision du Premier ministre Boris Johnson de suspendre le Parlement. Elle a ordonné qu'il siège à nouveau «dès que possible».
Après une semaine intense de votes, les parlementaires britanniques semblent avoir pris une décision quant au report du Brexit. La Chambre des lords a adopté une loi pour repousser la date de sortie de l'Union européenne.
Les passions se déchaînent au parlement britannique où Boris Johnson a vivement attaqué le chef de l’opposition officielle, Jeremy Corbyn, allant même jusqu’à le traiter de «poulet chloré» et d’«espèce de mauviette».
Le chef du gouvernement britannique, Boris Johnson, a soumis au parlement ce 4 septembre une motion pour des élections législatives anticipées le 15 octobre après que les députés britanniques ont adopté la loi sur le report de la date du Brexit. Peu après, cette demande a été rejetée par la Chambre des communes.
Le Premier ministre britannique a essuyé une défaite dans un vote crucial au Parlement. La Chambre des communes a adopté une motion visant à éviter une sortie sans accord. En réponse, Boris Johnson a dit s'apprêter à convoquer des élections anticipées.
La décision du Premier ministre Boris Johnson de suspendre le Parlement jusqu'au 14 octobre, soit deux semaines seulement avant la date du Brexit, a déclenché une vague d'indignation au Royaume-Uni où une pétition contre cette mesure recueillait jeudi plus d'un million de signatures, annonce l'AFP.
Le Royaume-Uni risque d’être confronté à une pénurie de produits alimentaires, de médicaments et de combustible et à la hausse du chômage en cas de sortie de l’UE sans accord, d’après un rapport du gouvernement britannique publié par le Sunday Times.
Des élus conservateurs «rebelles» proposent des amendements qui permettraient à la Chambre des communes de bloquer la sortie du Royaume-Uni de l’UE sans accord, promesse faite néanmoins en amont par le nouveau Premier ministre britannique, Boris Johnson. Un militant pro-Brexit a commenté la situation au micro de Sputnik.
Rien ne se passera dans les ports des deux côtés de la Manche en cas de Brexit sans accord, malgré les craintes de longues files d’attente de poids lourds, a estimé le chef des ports français de la Manche, Jean-Marc Puissesseau, cité par The Telegraph.
Le Premier ministre britannique Boris Johnson estime qu’un Brexit dur peut être évité que si l’Union européenne propose elle-même des compromis pour revoir l’accord sur les termes de la sortie de la Grande-Bretagne de l’UE, rejeté par le parlement. Sputnik en a discuté avec un ex-candidat au poste de maire de Londres.