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Après la signature d'un accord maritime entre la Grèce et l'Egypte le 6 août 2020, Recep Tayyip Erdogan a annoncé la relance de la prospection d'hydrocarbures dans une zone disputée de la Méditerranée orientale.
Ankara a multiplié les forages au large de Chypre. Des activités jugées «illégales» par la plupart des pays de la région et l'Union européenne. Emmanuel Macron a dénoncé une «violation» par la Turquie des souverainetés grecque et chypriote dans la zone.
Le Président français a annoncé un renforcement temporaire de la présence militaire française dans la région avec le déploiement de deux Rafale et deux bâtiments de la Marine nationale. Suite à cette initiative, la Turquie a accusé la France de se comporter «comme un caïd» et d’«accentuer les tensions» avec la Grèce.
Face à la menace de sanctions américaines et européennes à l’encontre de ses sociétés énergétiques, la Turquie en rapatriera, indique Bloomberg. Selon un fonctionnaire du ministère de l'Énergie, cette mesure vise à protéger les entreprises pétrolières, gazières et minières.
Alors que la tension est montée d’un cran en Méditerranée orientale après que la Turquie a lancé des travaux de prospection d’hydrocarbures dans le secteur, le Président turc a enfoncé le clou en déclarant qu’elle poursuivrait l’exploration tant qu’un «accord équitable» n’aura pas été conclu.
Sur fond des tensions en Méditerranée, provoquées par des recherches d'hydrocarbure par la Turquie dans une zone qu'elle dispute à la Grèce, Ankara annonce la reprise des travaux d'exploitation, annonce l’agence de presse turque Anadolu le 4 novembre.
Ankara a annoncé le 21 octobre l'extension d'une mission d'exploration gazière en Méditerranée orientale, une démarche qui devrait exacerber les tensions dans la région.
Les autorités turques ont retenu le 14 octobre pendant 20 minutes au-dessus de la frontière turco-irakienne un avion transportant le ministre grec des Affaires étrangères, rapporte la chaîne ERT. Ankara affirme qu’il ne s’agit pas d’une action délibérée, donnant sa version des faits.
Alors que les tensions persistent dans la zone disputée de la Méditerranée orientale après le redéploiement par Ankara d'un navire de recherche gazier, Recep Tayyip Erdogan a promis ce 14 octobre à la Grèce et à l'administration chypriote grecque «la réponse qu’elles méritent sur le terrain».
Commentant la décision de la Turquie de relancer des études sismiques en Méditerranée orientale risquant de raviver davantage les tensions avec la Grèce et ses alliés de l'Otan, la France a appelé Ankara à «se conformer à ses engagements» et à «s'abstenir de nouvelles provocations».
Les forces navales turques ont annoncé le 11 octobre que le navire Oruc Reis mènera une étude sismique en Méditerranée orientale, ce qui pourrait raviver les tensions avec la Grèce et ses alliés de l'Otan.
Ce vendredi 2 octobre, Ankara a rejeté la menace de sanctions brandie par l'Union européenne à son encontre en réponse à ses activités en Méditerranée orientale qualifiées d'«illégales».
Le chef de la République française a demandé au dirigeant turc de s'engager pour la désescalade des tensions avec la Grèce et Chypre en Méditerranée orientale, a annoncé l'Élysée.
La Turquie d’Erdogan ne risque-t-elle pas fort de l’emporter? Que le temps soit à l’escalade ou aux négociations, Ankara semble le mieux armé dans les différends territoriaux en Méditerranée orientale. Parce que l’UE, malgré la menace de sanctions, est désunie, et parce que la négociation n’en pourrait être que positive pour la Turquie. Analyse.
Recep Tayyip Erdogan s'en est pris jeudi à son homologue français Emmanuel Macron, le qualifiant d'«ambitieux incapable» en raison de son ferme soutien à la Grèce dans la crise qui l'oppose à la Turquie en Méditerranée orientale, rapporte l'AFP.
Tandis que la tension monte entre la France et la Turquie à propos de la situation en Méditerranée orientale, lors de son discours télévisé ce 12 septembre, le Président turc a recommandé à Macron de ne pas chercher la Turquie suite aux critiques françaises.
S’exprimant à l’issue du sommet Med7 qui se tient ce jeudi 10 septembre à Ajaccio, Emmanuel Macron a souligné que face à la Turquie qui mène une politique hégémonique en Méditerranée, les pays du sud de l’UE souhaitaient réengager un dialogue de bonne foi, écrit l’AFP.
Intervention des dirigeants des pays du sud de l’UE, Med7, réunis ce jeudi 10 septembre pour un sommet à Ajaccio, présidé par Emmanuel Macron.
Suite à une réprimande de Macron qui a affirmé ne plus considérer la Turquie comme un partenaire en Méditerranée orientale ce 10 septembre, la diplomatie turque a jugé que le Président français s’en prenait à son pays parce qu’il entravait «ses plans machiavéliques de politique étrangère».
La Turquie «n'est plus un partenaire» en Méditerranée orientale, a déclaré ce 10 septembre Emmanuel Macron tout en affirmant son souhait «de réengager un dialogue fécond» avec Ankara.
Cherchant à faire adopter des restrictions contre la Turquie suite à un différend en Méditerranée, Chypre a rejeté les sanctions formulées par l’Union européenne visant la Biélorussie, indique Bloomberg qui se réfère à une source proche du dossier. Interrogée par Sputnik, une source diplomatique chypriote a démenti cette information.
Les tensions en Méditerranée orientale annoncent-elles un conflit majeur? Pour Francis Perrin, directeur de recherche à l’IRIS, la crise entre la Turquie et ses voisins pourrait bien s’aggraver. Le pactole gazier dans la zone, estimé à minima à 3.000 milliards de m3, attise les convoitises des acteurs régionaux… et des grandes puissances. Analyse.
Bruxelles se prépare à traiter le dossier turc en Méditerranée orientale. Arbitrage devant des tribunaux internationaux et sanctions internationales sont actuellement évoquées, mais peuvent-elles suffire à calmer les ardeurs turques? Les avis divergent: Analyses du général Dominique Trinquand et du géopolitologue Alexandre Del Valle.