Pour améliorer le fonctionnement de notre site, accroître la pertinence des contenus informationnels et optimiser le ciblage publicitaire, nous collectons des informations techniques anonymisées sur vous, notamment à l’aide d’outils de nos partenaires. Le processus de traitement des données personnelles est décrit en détail dans la Politique de confidentialité. Les technologies que nous mettons en œuvre pour ce faire sont décrites en détail dans la Politique d’utilisation des cookies et d’enregistrement automatique.
En cliquant sur "Accepter et fermer", vous acceptez que vos données personnelles soient utilisées dans les buts décrits ci-dessus.
Vous pourrez revenir sur votre choix et retirer votre consentement en utilisant n’importe quel autre moyen indiqué dans la Politique de confidentialité.
Deux puissantes explosions successives se sont produites au port maritime de Beyrouth et près de la base de la Marine libanaise le 4 août 2020, semant la panique et provoquant un immense champignon de fumée dans le ciel de la capitale libanaise. La déflagration a soufflé les vitres des habitations situées dans un rayon de quelques kilomètres de l'épicentre.
Le président de la Croix-Rouge libanaise, Georges Kettaneh, a évoqué «des centaines de blessés». L’origine des explosions n'était pas connue dans l'immédiat.
Un ex-député libanais a établi un parallèle entre les morts de deux anciens responsables des douanes de Beyrouth et l’explosion meurtrière du 4 août dans le port de la capitale.
Un violent incendie s'est déclaré ce mardi 15 septembre dans les souks de la capitale libanaise situés en centre-ville. Il a été rapidement maîtrisé, d’après la Défense civile.
Selon le ministre sortant des Travaux publics, l’incendie dans le port de Beyrouth survenu le 10 septembre pourrait avoir été provoqué par l'utilisation d’une tronçonneuse lors de travaux de réparation. Michel Najjar a pourtant précisé qu’il ne s’agissait que d’une hypothèse préliminaire.
Le Président libanais Michel Aoun a déclaré ce jeudi 10 septembre que l'énorme incendie qui a ravagé aujourd’hui le port de Beyrouth, déjà dévasté par l’explosion du 4 août, a pu être provoqué par un acte de sabotage, une erreur technique ou une négligence.
Le 4 août, une double explosion d’une violence inouie se produisait dans le port de Beyrouth. Aujourd’hui, c’est un important incendie qui s’y est déclenché. Découvrez dans ce diaporama réalisé par Sputnik des images de cette nouvelle catastrophe qui touche la capitale libanaise.
Près d’un mois après les deux puissantes explosions successives qui ont ravagé le port de Beyrouth, un violent incendie a sévi de nouveau dans les installations maritimes. Et comme la fois précédente, la France s’est dite «prête à répondre aux besoins», selon BFM TV.
D'importantes flammes se sont élevées ce 10 septembre au-dessus d'un magasin de pneus et d'huile dans le port de Beyrouth à la suite d'un important incendie. Une immense colonne de fumée noire s'est dégagée du feu, selon de nombreuses vidéos prises par des témoins. Après plusieurs heures, le feu a été maîtrisé.
Quelque 5.000 tonnes de nitrocellulose ont été immergées dans quatre lacs artificiels, près de l’ancien site AZF de Toulouse, d’après une enquête du Figaro. Envisagée depuis longtemps, la dépollution du site se heurte à des questions environnementales.
Les recherches dans les décombres d'un immeuble à Beyrouth ont pris fin, après des informations cette semaine sur un éventuel survivant. «Il n'y avait ni vivant ni mort», a constaté à l’AFP le directeur des opérations de la Défense civile libanaise.
Dans une nouvelle vidéo présentant la ville dévastée un mois après l’explosion dans le port, Beyrouth s’affiche en ruines, ressemblant au paysage lunaire.
«Nous espérons que quelqu'un en sortira vivant», a déclaré le gouverneur de la ville de Beyrouth alors que les secouristes sont à pied d’œuvre ce jeudi sur les lieux détruits par l’explosion du 4 août après que des battements de cœur ont été détectés sous les décombres.
Pourquoi les révélations par un journaliste français d’une rencontre entre un dirigeant du Hezbollah et Emmanuel Macron ont-elles mis le Président français hors de lui? Avec François Costantini, spécialiste du Proche-Orient, Sputnik tâche d’y répondre.
Environ 4,3 tonnes de nitrate ammonium, composé chimique qui a provoqué la puissante explosion du 4 août dans le port de Beyrouth, ont été découvertes près de l’entrée du même port ce jeudi 3 septembre, a annoncé l’armée libanaise.
Le 31 août, l’Airbus A330 du Président de la République a été accidenté dans un aéroport de Beyrouth, au Liban, où Emmanuel Macron se trouvait en visite. Une des ailes a heurté un hangar en y faisant un trou. Le chef de l'État a dû prendre un autre avion pour rentrer en France.
En déplacement à Beyrouth, pour la deuxième fois après l’explosion du 4 août, Emmanuel Macron a indiqué ce mardi 1er septembre quatre priorités que la France suivrait dans son aide au Liban. Il a également annoncé avoir reçu l'engagement des autorités du pays qu'un gouvernement serait formé dans les 15 jours.
Arrivé lundi soir au Liban pour sa deuxième visite en moins d’un mois, Emmanuel Macron, tient ce 1er septembre une conférence de presse. Plus tôt, dans une interview au journal Politico, le Président français a déclaré que les trois mois à venir seraient «cruciaux» pour qu'un véritable changement ait lieu au Liban.
En déplacement dans la capitale libanaise pour la deuxième fois en moins d'un mois, le chef de l'État français rencontre ce 1er septembre son homologue Michel Aoun dans le cadre d'une cérémonie officielle.
Accompagné de son chef de la diplomatie et du ministre des Solidarités et de la Santé, Emmanuel Macron vient d’arriver à Beyrouth pour sa deuxième visite depuis l’explosion qui a ravagé le port de la capitale libanaise et une grande partie de la ville, a annoncé l'AFP.
Alors qu’un déplacement au Liban est prévu pour le 1er septembre, Emmanuel Macron a prévenu que laisser le pays «aux mains des turpitudes des puissances régionales» provoquerait une «guerre civile».
En déplacement au Liban, l’ancienne ministre française de la Culture et de la Communication qui occupe depuis 2017 le poste de directrice générale de l’Unesco a promis une aide considérable pour sauver l'éducation et la culture à Beyrouth, ville frappée par une gigantesque explosion début août.