Pour améliorer le fonctionnement de notre site, accroître la pertinence des contenus informationnels et optimiser le ciblage publicitaire, nous collectons des informations techniques anonymisées sur vous, notamment à l’aide d’outils de nos partenaires. Le processus de traitement des données personnelles est décrit en détail dans la Politique de confidentialité. Les technologies que nous mettons en œuvre pour ce faire sont décrites en détail dans la Politique d’utilisation des cookies et d’enregistrement automatique.
En cliquant sur "Accepter et fermer", vous acceptez que vos données personnelles soient utilisées dans les buts décrits ci-dessus.
Vous pourrez revenir sur votre choix et retirer votre consentement en utilisant n’importe quel autre moyen indiqué dans la Politique de confidentialité.
Suite au putsch avorté de juillet 2016, de multiples institutions en Turquie subissent des purges intérieures importantes sur fond de soupçons d'implication dans la rébellion. Les autorités ont suspendu, interpellé ou placé en détention plus de 82 000 militaires, policiers, magistrats, enseignants, fonctionnaires et d'autres personnes dans les jours qui ont suivi l'échec du coup d'Etat. Les recherches de 4 000 autres personnes se poursuivent. Ankara accuse le prédicateur Gulen, vivant en exil aux États-Unis depuis 1999, ainsi que « l'organisation terroriste FETO », qu'il dirige, d'avoir préparé le putsch.
La nouvelle du décès du prédicateur Fethullah Gülen n'est pas conforme à la réalité, a déclaré à Sputnik un représentant de l'organisation proche de l'intellectuel musulman, réagissant aux informations publiées par certains médias turcs.
À cause d’une publication où elle a comparé ses menstruations au «sang répandu» par les victimes du coup d’État manqué en Turquie l’an dernier, la gagnante du principal concours de beauté turc a été déchu de son titre.
Les procédures judiciaires lancées après le putsch avorté sont d'une ampleur sans précédent en Turquie, où plus de 113.000 personnes ont été arrêtées dans les purges engagées après le 15 juillet et l'instauration de l'état d'urgence.
L’ambassade des États-Unis à Ankara a expliqué pourquoi elle avait cherché à joindre un des organisateurs présumés du coup d’État avorté en Turquie, six jours après la tentative. Selon le consulat américain à Istanbul, il s’agit d’une question de délivrance de visa.
Dans la foulée de l’épuration de l’appareil d’État turc suite au putsch avorté de cet été, plusieurs détenteurs de passeports diplomatiques turcs ont demandé l’asile en Suisse. Les noms des personnes concernées sont pour le moment tenus en secret.
Plus de six mois après la tentative de coup d’État militaire entreprise par des militaires rebelles, la vaste purge lancée par Ankara se poursuit.
Un membre de la famille de Fethullah Gulen, le prédicateur accusé d'avoir organisé un coup d'État en juillet 2016 en Turquie, a été arrêté dans l'ouest du pays.
Sur fond de décision du Parlement européen de geler les négociations sur l’adhésion turque à l’UE, Ankara a décidé de faire marche arrière et envisage d’autres options de développement stratégique.
Des militaires turcs, dont le contrat avec la base de l’Otan dans la ville allemande de Ramstein-Miesenbach arrive à expiration, se sont adressés au gouvernement pour obtenir l’asile politique en Allemagne. Selon les médias locaux, on ignore toujours le nombre exact de demandes qui ont été acceptées.
Le Parlement européen envisage de freiner l’adhésion d’Ankara à l’Union européenne, selon une source au sein de l’Assemblée parlementaire européenne.
Alors que Recep Tayyip Erdogan insiste pour que l’Union européenne se décide sur le sort de l’adhésion d’Ankara, celle-ci fait face aux accusations de non-respect des droits de l’homme de la part de Bruxelles.
Bruxelles, pour sa part, a appelé Ankara à assurer le dialogue avec l’opposition et à promouvoir la démocratisation du pays.
Suite au putsch manqué l'été dernier en Turquie, plus de 35 possesseurs de passeports diplomatiques turcs ont demandé l’asile en Allemagne.
Aujourd’hui, au cours d'une conférence de presse avec son homologue français Jean-Marc Ayrault, le ministre turc des Affaires étrangères Mevlüt Çavuşoğlu a déclaré que les régimes d’état d’urgence introduits en Turquie et en France avaient le même objectif.
Depuis la tentative de coup d’Etat militaire, la Turquie traverse une période difficile. Cependant, le président turc a réussi à tenir la situation sous contrôle dans les moments les plus dangereux.
Les autorités turques poursuivent les purges massives qui ont fait suite à la tentative de putsch de juillet dernier.
Le premier ministre turc Binali Yildirim a accusé les membres de l’organisation du prédicateur islamique en exil aux Etats-Unis Fethullah Gülen (FETO) de semer de fausses rumeurs sur un nouveau coup d’Etat en Turquie.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan semble ne plus faire confiance aux militaires. Dans le cadre des nouvelles «réformes» et suite à la tentative de coup d’État de juillet, les autorités embauchent au ministère de la Défense plus de civils que de militaires.
Un groupe de militaires a entrepris le 15 juillet une tentative de coup d'Etat en Turquie. L'armée a annoncé avoir pris le contrôle du pouvoir et publié une nouvelle constitution. Mais samedi 16 juillet les militaires rebelles ont commencé à se rendre. Le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré que la tentative de coup d'Etat avait échoué. Le coup d'Etat avorté a fait 290 morts dont 190 civils et 100 putschistes, ainsi qu'au moins 1.400 blessés.
Près de 28 000 enseignants ont été licenciés en Turquie, soupçonnés de liens avec les rebelles kurdes ou la confrérie de l'ex-prédicateur Fethullah Gülen, accusé d'être l'instigateur du putsch avorté du 15 juillet. Qui va donc les remplacer ?