Lundi 30 septembre, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Seyyed Abbas Mousavi, a déclaré à l’agence iranienne Mehr que plus de 1.700 tablettes d’argile ont été rendues à l’Iran par l’Institut oriental de l’Université de Chicago.
🇮🇷 به همت وزارتخانه های میراث فرهنگی، امور خارجه و معاونت حقوقی ریاست جمهوری بیش از ۱۷۰۰ لوح تخت جمشید به کشور باز گردانده شدند. این الواح از سال ۱۹۳۵ با اجازه دولت وقت ایران، برای مطالعه کتیبه ها و متون، نزد موسسه شرق شناسی دانشگاه شیکاگو به امانت قرار داشتند. pic.twitter.com/2OD4oh5B60
— S.A MOUSAVI (@SAMOUSAVI9) September 30, 2019
Ces plaques ont été rendues grâce aux efforts des ministères iraniens du Tourisme, des Affaires étrangères et du Cabinet de la présidence.
En fin d’année dernière, le chef de l’Organisation iranienne du patrimoine culturel, de l’artisanat et du tourisme, Ali Asghar Munesan, avait annoncé que le Trésor américain avait accepté de transférer 1784 objets à l’Iran, dont des plaques de l’ancienne ville persane de Persépolis qui existait aux VI et Ve siècles avant J.C.
Dans les années 1930, lors des fouilles dans l’ancienne cité de Persépolis, les archéologues avaient découvert 30.000 tablettes d’argiles datant de l’Empire achéménide. Elles ont ensuite été transférées à l’Université de Chicago pour être étudiées.
Les tablettes sont désormais exposées au musée national d’Iran depuis le 2 octobre.
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