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Trois personnes ont été tuées, dont une au moins égorgée, et plusieurs autres ont été blessées lors de l'attaque survenue le 29 octobre à Notre-Dame de Nice. L'auteur présumé a été interpellé.
Soupçonnées d’avoir eu des contacts virtuels avec le terroriste qui a assassiné Samuel Paty, cinq personnes d’origine tchétchène âgées de 18 à 21 ans ont été placées en garde à vue le 7 décembre. Au total, 14 individus font l’objet de poursuites dans cette affaire.
Le Tunisien de 21 ans à l’origine de l’attaque terroriste qui a coûté le 29 octobre la vie à trois personnes à Nice a été transféré à Paris. Des responsables locaux évoquent un soulagement.
Après l’attentat qui a fait trois morts dans une basilique à Nice, son maire LR, Christian Estrosi, réclame la suspension des accords Schengen, qui permettent de voyager sans contrôle aux frontières dans 26 pays européens
Alors que quatre garde à vue entamées mardi sont toujours en cours dans le cadre de l'enquête sur l'attentat qui a frappé la semaine dernière la ville de Nice, une mesure similaire a été décidée pour un jeune de 17 ans, rapporte l'AFP. Il est soupçonné d'avoir été en contact avec le terroriste par le bais d'une messagerie.
Après l'attaque au couteau de la basilique Notre-Dame, le maire de Nice a annoncé le 2 novembre son intention d’installer des bornes d'appel d'urgence devant les 154 écoles de la ville. Selon lui, cela assurera une plus grande réactivité, ce qui a été prouvé lors de l’attentat du 29 octobre.
Près de deux semaines après la décapitation de Samuel Paty dans les Yvelines, l’hommage au professeur avait été programmé pour le 2 novembre dans chaque établissement scolaire. Un événement qui a été perturbé par trois élèves dans les Bouches-du-Rhône qui ont justifié cet acte terroriste.
Quatre personnes ont été interpellées dans le Val-d'Oise avant d’être placées en garde à vue dans le cadre de l'enquête sur l'attentat de Nice, relate BFM TV.
Le coronavirus a été diagnostiqué chez l'auteur de l'attaque de Nice, indique Le Figaro. Les pompiers l'ayant pris en charge deviennent ainsi des cas contacts.
Ce dimanche 1er novembre, des représentants de la communauté musulmane de Besançon, ainsi que de jeunes musulmans, sont venus exprimer leur solidarité avec les catholiques endeuillés par l'attentat de Nice.
Le ministre de l’Intérieur estime que l’auteur présumé de l’attaque meurtrière dans la basilique de Nice est «manifestement» venu en France «pour tuer».
Emmanuel Macron s’est entretenu avec son homologue tunisien suite à l’attaque de Nice dont l’auteur présumé serait un ressortissant du pays nord-africain.
Après l'attaque au couteau à la basilique Notre-Dame-de-l'Assomption de Nice jeudi 29 octobre par un jeune Tunisien fraîchement arrivé en Europe, un Français a été arrêté et mis en garde à vue, soupçonné d’avoir diffusé une photo de l’une des victimes.
Dans un entretien accordé à Nice-Matin, Mgr André Marceau, évêque de Nice, affirme «ne pas être Charlie» mais tient à défendre la liberté d’expression qui est «sacrée en France». Il appelle notamment les musulmans à s’exprimer d’une seule voix contre la violence.
L'ancien Premier ministre malaisien qui avait déclaré que «les musulmans ont le droit de tuer des millions de Français» a accusé Facebook et Twitter de partialité après que les réseaux sociaux ont supprimé ses messages à la suite du tollé international.
Un troisième homme, proche du suspect interpellé vendredi soir, a été placé en garde à vue dans l'enquête sur l'attaque mortelle dans la basilique de Nice, a-t-on appris samedi de source judiciaire.
Emmanuel Macron s'est entretenu avec le Pape François vendredi et lui a «affirmé qu'il continuerait de lutter sans relâche contre l'extrémisme afin que tous les Français puissent vivre leur foi dans la paix et sans crainte», a indiqué l'Élysée.
Alors qu'un individu a déjà été placé en garde à vue jeudi, suspecté d'avoir côtoyé le terroriste la veille de la tragédie à Nice, une deuxième personne soupçonnée des même faits a été arrêtée. Il s'agit d'un homme de 35 ans.
«Une merveilleuse personne». Une amie et une cousine de Simone, une des trois victimes de l’attentat perpétré hier à Nice ont partagé au micro de Sputnik leur tristesse, déplorant la disparition de cette mère de trois enfants qui n'avait que 44 ans.
Après que Nice a été frappée par un nouvel attentat terroriste qui a fait trois morts, Éric Ciotti a estimé à l’antenne de CNews qu’«un Guantanamo à la française» était nécessaire pour les fichés les plus dangereux qu’on les laisse «en toute liberté nous menacer dans notre pays».
Dans une vidéo diffusée le 19 octobre sur Facebook, un imam tunisien connu pour ses prises de position radicales après l'attentat de Charlie Hebdo appelait à décapiter les Français qui offensent Mahomet. Dix jour plus tard, trois personnes ont été tué au couteau dans un attentat de Notre-Dame de Nice.