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Les conséquences économiques de la crise sanitaire et des confinements dus à la pandémie de Covid-19 ébranlent durablement la France, l’Europe et le monde.
La menace d’un nouveau confinement se précise. Le ministre de la Santé n’exclut pas cette option en cas d’aggravation de l’épidémie après les fêtes de fin d’année. Au micro de Sputnik, l’économiste Philippe Simonnot tire la sonnette d’alarme. Les conséquences économiques d’une telle décision seraient difficiles.
L’UFC-Que Choisir lance un avertissement. D’après l’association, des établissements de crédit semblent «bien décidés à tirer profit de la crise». Dans une étude choc, elle estime que les défauts de paiement pourraient augmenter de 40% en 2021. Analyse.
L’Autorité bancaire européenne a prévenu le secteur bancaire afin qu’il se prépare à une probable forte hausse des prêts impayés en 2021, dans le sillage de la crise du Covid-19. Pour Dominique Garabiol, ancien banquier et spécialiste de la finance, «l’alerte maximale» n’est pas encore déclenchée. Mais demain?
Avec un endettement qui avoisinera les 120% du PIB en 2020, la question de l’annulation de la dette souveraine française par la BCE fait son chemin. S’ils s’opposent au micro de Sputnik sur la pertinence de cette idée, le financier Charles Gave et l’économiste Alban Pellegris s’accordent à dire qu’une telle action serait une véritable révolution.
La France a pris en 2020 la tête des plus gros contributeurs de la dette publique en zone euro pour la première fois de son histoire. L’année prochaine, Paris prévoit d’émettre 260 milliards d’euros de dette supplémentaire. Le point sur des finances hexagonales qui ne laissent pas d’inquiéter.
Les marchés ont vécu un mois record. Pour Josse Roussel, professeur à la Paris School of Business, l’annonce de l’arrivée d’un vaccin efficace contre le Covid couplée aux politiques des Banques centrales a rendu euphoriques les Bourses. Vont-elles encore monter? Possible pour l’expert qui note que la situation pourrait aussi se retourner.
La France devra composer avec une dette publique colossale ces prochaines années, ce qui ne pourrait pas être le cas de certains de ses partenaires européens, notamment l’Allemagne. De quoi entraîner une crise de la dette française? Pas pour l’économiste Henri Sterdyniak qui livre son analyse à Sputnik.
Avec plus de 125 milliards d’euros de prêts garantis accordés pour lutter contre la crise du Covid-19, le gouvernement français est le plus généreux en la matière en Europe. Pour l’économiste Philippe Simonnot, environ 10% ne seront pas remboursés et les pertes pour l’État seront répercutées sur les Français.
La France se dirige-t-elle vers une explosion sociale? C’est ce que pensent plus de huit Français sur dix, selon un récent sondage. La grande majorité des personnes interrogées sont inquiètes des conséquences économiques et sociales de la crise sanitaire. Rien d’étonnant pour Philippe Pascot, écrivain et soutien des Gilets jaunes.
Tandis que le deuxième confinement continue d’affecter l’économie française, Jacques Sapir tâche d’en évaluer l’impact à long terme. Inquiet des effets délétères induits par le ralentissement de l’activité, l’économiste appelle à une politique d’investissement public massif pour pallier au manque d’investissement privé dans cette crise.
Les signaux d’inquiétude se multiplient pour l’économie française. Le pays se trouve dans sa deuxième phase de confinement de l’année et n’est pas prêt d’en sortir totalement. Les prévisions de croissance pour 2021 ont été revues à la baisse par l’Insee et des secteurs d’activité entiers sont proches de l’abysse. Tour d’horizon de ce tableau noir.
Reconfinée depuis le 30 octobre pour faire face au regain de circulation du coronavirus, la France se dirige vers une récession de 10% en 2020. En quoi cette crise risque-t-elle de désorganiser pour longtemps le fonctionnement de l’économie? Peut-elle se transformer en crise financière? Sa gestion manifeste-t-elle une logique néolibérale?
La capitalisation boursière planétaire a dépassé le PIB mondial. La dernière fois, c’était avant la crise de 2008. Sommes-nous dans une bulle spéculative géante prête à exploser? Un scénario possible, pour l’économiste Christophe Ramaux. Il met en cause la dérégulation des marchés financiers au micro de Sputnik.
Alors que la dette publique française avoisine les 120% du PIB du fait de la crise liée au coronavirus, des voix se font entendre pour rappeler qu’il faudra la rembourser. Mais les États paient-ils jamais intégralement leurs dettes? La vision dominante de cette question manifeste-t-elle un «imaginaire austéritaire», autrement dit un rapport social?
La crainte du reconfinement et le désir de vivre en maison pourraient-ils pousser un nombre important d’habitants des villes à s’installer dans des zones périurbaines, augmentant leur consommation d’énergie et leur dépendance à la voiture? Qu’est-ce que la «rurbanisation», et est-il possible d’enrayer ce phénomène?
François Ecalle, magistrat de la Cour des comptes, vient de publier de sombres prévisions concernant la trajectoire de la dette publique française. Ses divers scénarios la voient presque tous exploser d’ici à 2030. De quoi mener à une nécessaire hausse des impôts afin de la résorber?
Une majorité de Français se déclare favorable au protectionnisme, selon un sondage OpinionWay pour le Printemps de l'économie et l'Inseec U. Un chiffre en forte augmentation depuis la crise du Covid-19. Pour Charles-Henri Gallois, président de Génération Frexit, il s’agit d’une tendance de fond qui pourrait mener à un référendum sur le Frexit.
Depuis la crise liée au coronavirus, de nombreux emplois ont été supprimés en Bretagne, au point qu’un élu de la région a évoqué sur Europe 1 un éventuel soulèvement populaire si rien n’était fait du côté du gouvernement.
Pour la rentrée de «Russeurope Express», Jacques Sapir décortique dans son édito le plan de relance annoncé par le gouvernement. Quoiqu’important, ce plan se révèle selon l’économiste d’une ampleur et d’une cohérence insuffisantes.
Décrit par Jean Castex comme «d’une ambition et d’une ampleur historiques», le plan de relance présenté par le gouvernement le 3 septembre est-il à la hauteur des enjeux? S’agit-il d’un virage keynésien et écologique de l’exécutif, ou au contraire d’une continuité dans sa politique de l’offre?