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Le Boeing 777 de Malaysia Airlines effectuant un vol MH17 d'Amsterdam à Kuala Lumpur (Malaisie) s'est écrasé le 17 juillet 2014 dans la région de Donetsk où une opération armée est actuellement menée par l'armée ukrainienne contre les forces d'autodéfense de la République populaire autoproclamée de Donetsk (DNR). Toutes les 298 personnes se trouvant à bord de l'appareil ont péri dans le crash.
Le tribunal de district de La Haye a refusé d'envisager des versions alternatives des causes du crash du vol MH17, a annoncé ce mercredi 25 novembre Hendrik Steinheis, président du jury. Ce dernier a expliqué que si le parquet ne prouvait pas la version principale de la catastrophe, l’accusé serait automatiquement acquitté.
Le tribunal néerlandais qui étudie l’affaire sur le crash du vol MH17, dans le sud-est de l’Ukraine, a pour la première fois accepté d’étudier les informations mises à sa disposition par la Russie.
Les spécialistes, qui ont terminé l’étude de données radar relatives au crash du Boeing malaisien dans l’est de l’Ukraine en 2014, ne disposent pas d'information indiquant qu'un missile sol-air a été tiré depuis Snejnoïe ou Zarochtchenskoïe le 17 juillet 2014, selon le procureur néerlandais Thijs Berger.
Après que le procureur néerlandais a déclaré à CBS avoir au moins un témoin du lancement d’un missile Bouk qui aurait visé le MH17 abattu dans le Donbass en 2014, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova a réagi à ces propos les qualifiant de «bouffonnerie».
Certains documents publiés récemment par la plateforme Bonanza Media affirmant qu’un chasseur ukrainien se trouvait dans la zone du crash du Boeing de la Malaysia Airlines en Ukraine en 2014 sont authentiques, rapporte le service de presse de la police fédérale australienne.
Le service militaire de renseignement des Pays-Bas n’a découvert aucun système antiaérien Bouk à même d’avoir pu abattre le Boeing malaisien en Ukraine en 2014, selon les documents publiés par le journaliste néerlandais Max van der Werff.
Le détective allemand Josef Resch, qui avait proposé en septembre de dévoiler de nouvelles preuves sur le crash du Boeing malaisien dans le Donbass en 2014, a finalement retiré sa proposition faute de demande, a annoncé son avocat à Sputnik.
Des membres de la Chambre des représentants du Parlement néerlandais ont soutenu l’initiative d’une enquête sur le rôle de l’Ukraine dans le crash du MH17, notamment afin de déterminer pourquoi l'espace aérien au-dessus du Donbass n'était pas fermé.
Le détective allemand Josef Resch, qui avait mené une enquête privée sur le crash du Boeing malaisien dans l’est de l’Ukraine en 2014, s’est dit prêt à dévoiler des preuves sur la catastrophe si les enquêteurs internationaux se pliaient à ses conditions.
Le détective allemand Josef Resch est d'accord pour discuter avec la Malaisie du transfert des informations qu'il détient sur le crash du vol MH17 dans le Donbass en 2014.
Mahathir Mohamad, Premier ministre malaisien, a exprimé ses doutes dans une interview à Sputnik quant à la neutralité de l'enquête sur le crash du MH17 en 2014 en Ukraine. En outre, la Malaisie, par la voix de son chef de gouvernement, ne pense pas qu'il existe des motifs suffisants pour accuser la Russie de cette tragédie.
Le détective allemand Josef Resch, qui avait mené une enquête privée sur la catastrophe du Boeing malaisien dans le ciel du Donbass en 2014, a réitéré sa proposition au parquet des Pays-Bas qui dirige l'enquête internationale de transmettre au Groupe d'enquête conjoint (JIT), en présence des médias, toutes les informations, dont il disposait.
Le détective allemand Josef Resch, qui a mené une enquête privée sur la catastrophe du Boeing malaisien dans le Donbass en 2014, a déclaré à Sputnik qu'il pourrait proposer à la Russie, à la Malaisie et à d'autres pays de rendre publiques les informations qu'il a recueillies sur cette tragédie.
Dans un documentaire du journaliste néerlandais Max van der Werff dédié au crash du vol MH17 en 2014, un militaire malaisien assure que des agents du FBI voulaient mettre la main sur les enregistreurs de l’appareil.
Les États-Unis, le Royaume-Uni et les Pays-Bas ne sont pas intéressés par la vérité sur ce qui s’est passé avec le Boeing malaisien MH17 et préfèrent accuser la Russie du crash, estime le Premier ministre malaisien Mahathir Mohamad.
À la différence des États-Unis et de Kiev, qui n’ont toujours pas fourni d’informations sur le crash du Boeing de Malaysia Airlines abattu en 2014 en Ukraine, Moscou a proposé aux enquêteurs basés aux Pays-Bas ses données radar, selon l’ambassadeur de Russie aux Pays-Bas.
Les accusations des enquêteurs établis aux Pays-Bas contre trois Russes soupçonnés d’avoir abattu un avion de Malaysia Airlines sont «politiquement motivées», estime le Premier ministre malais. Les noms des quatre suspects dans cette affaire ont été dévoilés le 19 juin.
Le ministère russe des Affaires étrangères a qualifié de «gratuites» les accusations formulées par un groupe d’enquête conjoint qui soupçonne trois militaires russes d’être impliqués dans le crash en Ukraine du Boeing 777 de la Malaysia Airlines en 2014.
Le groupe d'enquête conjoint (JIT) a fait savoir le 19 juin sur son site que quatre personnes seraient poursuivies en justice dans l’affaire du crash en Ukraine du Boeing 777 de la Malaysia Airlines en 2014. Il s’agit de trois citoyens russes et d’un Ukrainien.
Le Premier ministre malaisien Mahathir Mohamad estime qu’il y a eu trop de politique dans l’enquête sur le crash en Ukraine en 2014 d’un Boeing malaisien et que les enquêteurs en ont accusé la Russie en l’absence de preuves, rapporte le quotidien Malay Mail.