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Des manifestants soutenant le Président sortant Donald Trump ont fait irruption dans le Capitole le 6 janvier, poussant le Congrès à suspendre la procédure de certification des résultats de la présidentielle.
Une flambée de Covid-19 s’est déclarée parmi les membres de la Garde nationale américaine envoyés à Washington après les émeutes au Capitole, relate Politico.
Pour Viatcheslav Volodine, président de la chambre basse du Parlement russe, les élites politiques américaines sont responsables des violences au Capitole. Il estime qu'en jouant sur les différences qui existent entre les Américains, ils ont provoqué la radicalisation d’une partie.
Dans un podcast relayé sur Twitter, Hillary Clinton a reçu la présidente démocrate de la Chambre des représentants Nancy Pelosi. Toutes deux ont évoqué la potentielle influence de Vladimir Poutine relative aux événements du 6 janvier au Capitole, à Washington, et souhaitent la mise en place d’une commission pour enquêter sur ce sujet.
Une jeune femme faisant partie des émeutiers qui se sont introduits le 6 janvier au Capitole est soupçonnée d'avoir voulu vendre un ordinateur volé aux services spéciaux russes.
Après leur suspension le 7 janvier provoquée par l’assaut du Capitole aux États-Unis, les pages du Président américain sortant sur Facebook et Instagram ont été réactivées.
Selon le bilan intermédiaire des investigations sur les violences commises par des émeutiers au Capitole, 275 enquêtes ont été ouvertes et 98 personnes sont visées par des accusations, a indiqué le procureur fédéral de Washington. Le FBI recense une quarantaine d’arrestations et une centaine d’individus placés en garde à vue.
Le 14 janvier, des procureurs fédéraux des États-Unis ont assuré que les participants à l’assaut du Capitole voulaient «capturer et assassiner des élus». Une note inquiétante a été laissée pour Mike Pence par l’un des participants.
Insurrection, terrorisme, coup d’État… autant de termes évoqués pour décrire la prise d’assaut du Capitole, à Washington, le 6 janvier dernier. Sont-ils pertinents? Au micro de Rachel Marsden, Phil Gurski, ancien officier de renseignement canadien, décortique cet incident qui a choqué le monde.
Après quatre années de stabilité, la cote d’approbation de Donald Trump a chuté à 34%, la plus basse de son mandat, rapporte Politico. Cette perte de popularité s’explique par le récent assaut du Capitole par des partisans du Président sortant.
Une liste de noms a été retrouvée en possession d’un homme qui avait apporté des armes et des explosifs lors de l’assaut du Capitole. Plusieurs personnalités politiques et médiatiques y sont répertoriées comme «bonnes» ou «mauvaises».
Une majorité de membres de la Chambre des représentants ont approuvé mercredi la mise en accusation de Donald Trump pour «incitation à l'insurrection».
Quelles auraient pu être les motivations des participants à la prise d’assaut du Capitole à Washington, le 6 janvier dernier? Analyse de Phil Gurski, ancien officier de renseignement canadien et spécialiste de terrorisme, au micro de Rachel Marsden.
Les membres du FBI à Norfolk ont prévenu leurs collègues de possibles émeutes à Washington et d’éventuelles violences visant le Congrès, selon un document dévoilé par le Washington Post.
Donald Trump a réagi ce mardi 12 janvier aux efforts du Parti démocrate visant à le destituer. Pour lui, ce n’est qu’une «chasse aux sorcières», rapporte le Washington Post.
À partir de cette semaine et jusqu’au jour de l’investiture de Joe Biden le 20 janvier, des manifestations armées sont à prévoir dans les 50 États américains, selon une note interne du FBI révélée par le média ABC.
Le Pentagone a autorisé le déploiement de 15.000 soldats de la Garde nationale lors de la cérémonie d’investiture du Président américain élu Joe Biden programmée pour le 20 janvier, afin d'éviter de nouvelles violences après l'assaut sur le Capitole.
Les Démocrates de la Chambre des représentants ont déposé un projet de résolution sur la destitution de Donald Trump, à neuf jours de la fin de son mandat, l’accusant d’incitation à l’insurrection.
Le puissant magazine économique américain Forbes compte s’attaquer à Donald Trump, mais aussi à ses anciens collaborateurs qui ont «menti pour lui». Au micro de Sputnik, l’avocat international et vice-président de France-Amériques Jean-Claude Beaujour dénonce une manœuvre dangereuse d’intérêts privés qui se soustraient à la justice américaine.
Silencieuse depuis les débordements au Capitole, Melania Trump s’est finalement exprimée pour condamner les violences du 6 janvier. Elle a en outre dénoncé les «ragots salaces» et les «attaques injustifiées» dont elle a été victime.
Suite à l’assaut du Capitole, Colin Powell a déclaré sur CNN ne plus se reconnaître dans le Parti républicain. L’ancien secrétaire d’État a appelé les élus du «Grand Vieux Parti» à se désolidariser de Donald Trump.