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L'élection présidentielle en Algérie est prévue pour le 18 avril 2019.
Le 20 février, Abdelaziz Bouteflika, le chef d'État actuel, a annoncé qu'il se présenterait pour un cinquième mandat.
Suite à l'annonce de sa candidature, des manifestations populaires la dénonçant ont eu lieu dans plusieurs villes d'Algérie. Le 22 février, des milliers d'opposants à la candidature de M.Bouteflika ont manifesté dans plusieurs villes d'Algérie, dont Alger. Le 1er mars, les manifestations ont fait un mort et 183 blessés, selon l'Algérie Presse Service, qui se réfère au ministère de la Santé.
Des milliers de personnes sont descendues dans le centre d’Alger ce vendredi 13 décembre pour contester les résultats de la présidentielle algérienne à l’issue de laquelle Abdelmadjid Tebboune, ancien Premier ministre de Bouteflika, a été élu.
Peu après l’annonce des résultats, Mohamed Charfi, président de l'Autorité nationale indépendante des élections (ANIE) a déclaré dans un commentaire à Sputnik qu’aucune critique concernant l’organisation du scrutin ne lui avait été signalée par les candidats et que ce dernier s’était déroulé «dans les meilleures conditions de lisibilité».
Après la victoire d’Abdelmadjid Tebboune à la présidentielle du 12 décembre en Algérie, son porte-parole Mohamed Lagab a remercié dans son commentaire à Sputnik les électeurs et l’armée et a déclaré que la fondation d’une nouvelle Algérie commençait.
La veille de l’élection du 12 décembre censée déterminer la voie sur laquelle progressera l’Algérie durant le quinquennat à venir, Azzedine Mihoubi, candidat à la présidentielle, a énuméré au micro de Sputnik les démarches selon lui indispensables pour faire avancer le pays, sans oublier les relations de celui-ci avec la Russie et l’UE.
Persuadé que la présidentielle fixée au 12 décembre est la première élection réelle que connaît le pays, un ex-colonel des renseignements algériens estime dans un entretien à Sputnik que le Hirak peut justement devenir la garantie d’élections sans fraude.
Alors que moins d’une semaine nous sépare de la présidentielle en Algérie, des milliers de manifestants sont de nouveau descendus dans les rues d’Alger, la capitale, pour protester contre sa tenue.
Tenu en prévision du scrutin du 12 décembre, un rassemblement organisé par l’Union générale des étudiants algériens (UGEA) s’est fixé pour objectif d’envoyer un message à la société et au monde pour dire que toute ingérence dans les affaires du pays est rejetée.
L’élection présidentielle en Algérie est de nouveau annulée, pour la deuxième fois en moins de trois mois, alors que le chef d'État par intérim, Abdelkader Bensalah, a appelé tous les partis politiques du pays à lancer un «dialogue ouvert» en vue d’organiser un scrutin à très court terme.
À la suite de la démission du président du Conseil constitutionnel en Algérie, l’organisation de l’élection présidentielle dans les délais prévus s’avère «politiquement impossible», a indiqué une politologue au site TSA. Elle estime que la rue ne lâchera pas avant le départ de toutes les figures de l’ancien système.
En Algérie, le renoncement d'Abdelaziz Bouteflika à briguer un 5e mandat ne semble pas éteindre la contestation. Alors que la nouvelle avait au départ été plutôt bien accueillie, les détracteurs du Président continuent de se mobiliser contre une énième «manœuvre» du pouvoir dont ils n'exigent rien d'autre que le départ immédiat.
Des Algériens, dont des partis d’opposition, ont réagi sur les réseaux sociaux à la position de la France, dénonçant une tentative d’ingérence de Paris dans la crise politique qui secoue leur pays. Par ailleurs, certains ont estimé qu’il était nécessaire de juger cette position d’une façon dépassionnée.
La partie russe considère les événements en cours en Algérie comme «une affaire strictement intérieure d’un pays ami» et espère que ces problèmes seront résolus dans le cadre d’un dialogue national.
Les États-Unis ont réagi aux décisions du Président algérien de ne pas être candidat à un 5e mandat et d’organiser une conférence nationale soutenant une «nouvelle voie fondée sur le dialogue» et l’organisation «d’élections libres». Auparavant, la France s’était également exprimée sur le sujet.
Le nouveau vice-Premier ministre algérien et ministre des Affaires étrangères a qualifié dans un entretien avec RFI les décisions prises par Bouteflika de «tournant le plus important de l’Histoire de l’Algérie depuis 1962». Selon lui, ces dernières ouvriront une nouvelle ère de liberté et de démocratie dans le pays.
En visite à Djibouti, Emmanuel Macron a réagi au renoncement d'Abdelaziz Bouteflika à se présenter à la prochaine élection présidentielle. Le Président de la République a salué cette décision et appelé à une transition d'une «durée raisonnaible».
«On veut une Algérie libre, jeune et moderne»: plusieurs ressortissants de ce pays nord-africain ont expliqué, au micro de Sputnik, ce qui les a poussés à venir manifester place de la République à Paris contre un cinquième mandat du Président algérien actuel Bouteflika.
Ayant décollé cet après-midi de Genève, l'avion du Président algérien, Abdelaziz Bouteflika, a atterri à l’aérodrome militaire de Boufarik, commune située au sud-ouest d’Alger, annonce la chaîne de télévision Ennahar TV. Par la suite, la présidence a confirmé le retour du chef d'État au pays.
Comme le signale la télévision privée algérienne, l'avion d'Abdelaziz Bouteflika s'apprête à cette heure à décoller de Genève pour retourner dans le pays africain après le séjour hospitalier du Président algérien en Suisse.
Face à la crise politique qui secoue le pays depuis le 22 janvier, le parti algérien au pouvoir a lancé un appel d'unification à toutes les forces politiques du pays.
Jugeant que la situation politique en Algérie pourrait engendrer une vague migratoire importante, Jean-Marie Le Pen croit nécessaire de suspendre les législations permettant aux réfugies d'entrer sur le territoire français.