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Un scientifique iranien de haut rang travaillant dans le secteur nucléaire a été tué le le 27 novembre 2020.
Mohsen Fakhrizadeh, 59 ans, chef du département recherche et innovation du ministère iranien de la Défense, a été pris pour cible dans sa voiture par plusieurs assaillants dans la province de Téhéran. Grièvement blessé, il a été transporté à l'hôpital, mais les médecins n'ont pas réussi à le réanimer.
L’ambassadeur iranien à Moscou a déclaré à Sputnik que les services de sécurité de son pays avaient collecté «beaucoup de preuves» accablantes contre Israël dans l’affaire de l’assassinat du Dr Mohsen Fakhrizadeh. Selon lui, le savant était désigné «depuis longtemps» comme cible à abattre par l’État hébreu.
Les organisateurs du meurtre du scientifique iranien Mohsen Fakhrizadeh cherchaient à déclencher par ce crime une guerre au Proche-Orient, a annoncé ce lundi 14 décembre, le Président iranien.
Les États-Unis et Israël ont-ils le droit d’assassiner en toute impunité des scientifiques nucléaires iraniens dans leur propre pays? Décryptage de William Julié, avocat spécialiste en droits de l’homme et droit de l’extradition, pour le Désordre mondial.
Le chercheur Mohsen Fakhrizadeh a reçu un avertissement de son service de sécurité quelques heures avant l’attaque qui lui a coûté la vie mais il a préféré l’ignorer, ont déclaré deux fils du scientifique cités par l’agence de presse IribNews.
Lors d’un entretien téléphonique avec Hassan Rohani, le Président turc a affirmé que le récent assassinat d’un scientifique iranien visait à perturber la stabilité de la région.
Téhéran se garde le droit de «venger le sang» du chercheur Mohsen Fakhrizadeh mort assassiné près de Téhéran, assure Hassan Rohani.
L’ex-directeur de la lutte antiterroriste en Israël, Nitzan Norell, a affirmé à CNN que l’armée de son pays disposait depuis un moment d’armes télécommandées, déjà utilisées dans les points de contrôle de Gaza. Un autre expert en sécurité israélien a quant à lui réfuté la thèse iranienne de l’assassinat de Mohsen Fakhrizadeh avec ces armes.
Donald Trump préfère la stratégie d’assassinats ciblés à la guerre conventionnelle. Cela représente-t-il un changement majeur dans les conflits armés? Analyse de Gérard Chaliand, spécialiste des relations internationales et stratégiques ainsi que des conflits armés et irréguliers, au micro de Rachel Marsden.
Suite à l’assassinat du scientifique haut placé dans la filière nucléaire, l’Iran a ratifié le projet de loi prévoyant notamment l’augmentation du taux d’enrichissement d’uranium et le recours à des centrifugeuses plus avancées que celles prévues par l’accord nucléaire de 2015, indique Fars.
Bien sûr, la mort du scientifique fera défaut au développement du secteur nucléaire iranien. Mais elle révèle surtout, selon Michel Makinsky chercheur-associé à l’IPSE, la faiblesse des services de sécurité de Téhéran face à ses ennemis. Analyse.
Le Dr Mohsen Fakhrizadeh était depuis des années dans le collimateur des services spéciaux israéliens, a déclaré à la chaîne CNN Arabic un responsable de l’administration américaine ayant requis l’anonymat, soutenant qu’Israël était le commanditaire de cet assassinat.
Lors d’une visite tenue secrète au sud de Beyrouth, le commandant de la Force al-Qods iranienne s’est entretenu avec le chef du Hezbollah à qui il a demandé d’éviter de mener une action militaire contre Israël qui pourrait profiter pour lancer un conflit plus large dans la région, a rapporté L’Orient-Le Jour.
Le prince héritier d'Abou Dhabi Mohammed ben Zayed a reçu le week-end dernier une menace directe de frappes de la part de Téhéran qui le tient «responsable de l'assassinat de Fakhrizadeh», a indiqué une source à Middle East Eye. Selon le média, l'Iran craindrait une éventuelle attaque des États-Unis.
Les enquêteurs dans l’affaire du meurtre du physicien nucléaire iranien Mohsen Fakhrizadeh ont découvert de nouvelles preuves permettant de remonter aux responsables du crime, a annoncé le ministre des Renseignements et de la Sécurité nationale, selon IRNA.
Le chef du département de la recherche nucléaire en Iran, Mohsen Fakhrizadeh, a été tué avec une arme portant «le logo et les spécifications de l’industrie militaire israélienne», indique le 30 novembre la chaîne de télévision iranienne Press TV.
Abou Dhabi et Amman ont condamné l’assassinat du scientifique nucléaire iranien Mohsen Fakhrizadeh, appelant à la plus grande retenue afin d‘éviter que la région ne glisse vers une escalade militaire qui pourrait lui coûter la paix et la stabilité, indiquent des communiqués des Affaires étrangères des deux pays.
Le projet de loi iranien prévoyant notamment l’augmentation du taux d’enrichissement de l’uranium et le recours à des centrifugeuses plus avancées que celles prévues par l’accord nucléaire sera examiné sans délai. Cette décision a été prise par les députés à la suite de l’assassinat d’un de ses grands chercheurs du domaine nucléaire.
Le lendemain de l’assassinat d’un scientifique iranien de haut rang travaillant dans le secteur nucléaire, un ministre israélien a déclaré le 28 novembre dans une interview à la chaîne américaine N12 qu’il n'avait «aucune idée» de qui était derrière.
Le porte-parole de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique (OEAI) a déclaré que les deux évènements survenus sur le site nucléaire de Natanz en juillet et le meurtre d’un scientifique du nucléaire le 27 novembre, ont été organisés par les mêmes forces, vraisemblablement en lien avec le «régime sioniste», rapporte l’agende de presse ILNA.
Rencontrant l’ambassadeur iranien en Syrie, le chef de la diplomatie de ce pays arabe a rappelé que l’Onu devait «remplir ses engagements de contrer le terrorisme», soulignant qu’en l’absence d’actes, les tensions dans la région ne feraient que s’accentuer.